Littérature hispano-portugaise

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  • Isabel Allende

    MON PAYS RÉINVENTÉ

    POCHE 4,00

    Isabel Allende se confie : « Presque toute ma vie, j’ai été une étrangère, condition que j’accepte car je n’ai pas d’alternative. Plusieurs fois, je me suis vue obligée de partir en brisant des liens et en laissant tout derrière moi, pour recommencer ma vie ailleurs. » Ayant choisi l’exil après le coup d’Etat du 11 septembre 1973 au Chili, Isabel Allende s’est engagée sur le chemin de la littérature. Aujourd’hui, sur un ton léger et émouvant, elle nous livre son Chili mythique, imaginé dans l’exil, territoire de sa nostalgie, seul pays où elle ne se sente pas une étrangère.Ce portrait contrasté du Chili, où sont évoquées sa géographie, son histoire, sa culture ou ses mentalités, est entremêlé de souvenirs et de pensées personnelles qui retracent tout le chemin d’une vie. La famille extravagante, l’enfance, les rencontres, les voyages. Isabel Allende dévoile les origines et donne les clés des personnages et des lieux qui sont la matière de son ?uvre romanesque.

  • Fernando Aramburu

    PATRIA

    POCHE 6,50

    Lâchée à l’entrée du cimetière par le bus de la ligne 9, Bittori remonte la travée centrale, haletant sous un épais manteau noir. Afficher des couleurs serait manquer de respect aux morts. Parvenue devant la pierre tombale, la voilà prête à annoncer à son défunt mari les deux grandes nouvelles du jour : les nationalistes de l’ETA ont décidé de ne plus tuer, et elle de rentrer au village, près de Saint-Sébastien, où son époux a été assassiné. Or le retour de la vieille femme va ébranler l’équilibre de la bourgade, mise en coupe réglée par l’organisation terroriste. Des années de plomb du post-franquisme jusqu’à la fin de la lutte armée, «Patria» s’attache au quotidien de deux familles séparées par le conflit fratricide, pour examiner une criminalité à hauteur d’homme, tendre un implacable miroir à ceux qui la pratiquent et à ceux qui la subissent. L’ETA a désormais déposé les armes mais pour tous une nouvelle guerre commence : celle du pardon et de l’oubli.

  • Mario Vargas Llosa

    TOURS ET DÉTOURS DE LA VILAINE FILLE

    BROCHÉ 5,50

    Que de tours et de malices chez cette ” vilaine fille “, toujours et tant aimée par son ami Ricardo, le ” bon garçon “. Ils se rencontrent pour la première fois au début des années cinquante en pleine adolescence, dans l’un des quartiers les plus huppés de Lima, Miraflores. Joyeux, inconscients, ils font partie d’une jeunesse dorée qui se passionne pour les rythmes du mambo et ne connaît d’autre souci que les chagrins d’amour. Rien ne laissait alors deviner que celle qu’on appelait à Miraflores ” la petite Chilienne ” allait devenir, quelques années plus tard, une farouche guérillera dans la Cuba de Cassa, puis l’épouse d’un diplomate dans le Paris des existentialistes, ou encore une richissime aristocrate dans le swinging London. D’une époque, d’un pays à l’autre, Ricardo la suit et la poursuit, comme le plus obscur objet de son désir. Et, bien entendu, ne la perd que pour mieux la rechercher. Mario Vargas Llosa nous offre un cadeau inattendu : une superbe tragi-comédie où éros et thanatos finissent par dessiner une autre Carte de Tendre entre Lima, Paris, Londres et Madrid. Car Tours et détours de la vilaine fille est bien cela : la géographie moderne d’un amour fou.

  • Pablo Neruda

    LA SOLITUDE LUMINEUSE

    POCHE 1,50

    En 1928, Pablo Neruda est nommé consul à Colombo, Ceylan, puis à Singapour et Batavia. Accompagné de Kiria, sa fidèle mangouste, le poète chilien découvre les odeurs et les couleurs des rues asiatiques, les plaisirs et cauchemars de l’opium, la chasse à l’éléphant, le sourire paisible des Bouddhas… Neruda livre ses souvenirs colorés et poétiques d’un Orient colonial et se révèle comme un homme passionné, curieux de tout et de tous, et un merveilleux conteur.

  • Mario Vargas Llosa

    LES CHIOTS

    POCHE 1,50

    Les chiots, ce sont ces jeunes garçons turbulents de la banlieue de Lima qui tentent de s’affirmer, de devenir adultes. Parmi eux, Cuéllar, cruellement surnommé Petit-Zizi dans un monde où règne le mythe de la virilité. En grandissant, les différences se font plus sensibles, les jeux plus violents et Cuéllar se retrouve en marge. Son innocence est broyée par les rouages implacables de la société péruvienne.

  • Mario Vargas Llosa

    LA TANTE JULIA ET LE SCRIBOUILLARD

    POCHE 5,50

    Lorsque la table du déjeuner familial est desservie et que s’annonce un après-midi sans surprise et sans sorties, que faire ? En Amérique latine, des millions d’hommes – et surtout de femmes – attendent alors le moment de tourner le bouton de la radio pour absorber leur dose quotidienne de rire, de larmes et de rêve. C’est derrière les feux de cette rampe-là, faussement clinquante, que le grand romancier péruvien nous mène : acteurs vieillis dont seule la voix séduit encore, tâcherons de l’écriture dévorés par le halo d’une gloire illusoire, requins de l’audio-visuel artisans de la misère de leurs “créateurs”. Pedro Camacho, un as du feuilleton radio, arrive alors à Lima. Il n’a d’autre vie que celle de ses personnages et de leurs intrigues. Enfermé jour et nuit dans la loge de l’immeuble de la radio, il manipule les destinées de ces êtres imaginaires qui font battre le coeur des auditeurs. Mais voilà que, au comble de la gloire, son esprit s’embrume : comme des chevaux fous, ses héros franchissent les barrières, font irruption dans des histoires qui ne sont pas les leurs et engendrent une avalanche de catastrophes : les auditeurs affolés portent plainte… En contrepoint, nous est contée l’histoire de “Varguitas” : à dix-huit ans, il poursuit, mollement, des études de droit, comme l’exige son père. Installé dans un cagibi, il gagne quelques sous en rédigeant les bulletins de nouvelles pour la radio de Lima et rêve de faire publier les nouvelles qu’il écrit à ses (nombreux) moments perdus. Pour la première fois, Mario Vargas Llosa parle ici à la première personne et raconte son histoire : “Varguitas” n’est autre que lui et la tante Julia, fraîchement divorcée, de quinze ans son aînée, a bien existé. Malgré l’opprobre familial et le rocambolesque bureaucratique, il finira par l’épouser. Il est difficile de mieux conjuguer le rétro, le kitsch et le mélo que Mario Vargas Llosa le fait dans ce livre, l’un des plus éblouissants témoignages sur ce qu’est aujourd’hui le vécu, le ressenti, le rêvé de l’homme moyen en Amérique latine.

  • Mario Vargas Llosa

    LE PARADIS

    POCHE 6,50

    Le 7 avril 1803 naît à Paris la militante féministe et ouvriériste Flora Tristan. Un siècle plus tard, le 8 mai 1903, son petit-fils, Paul Gauguin, meurt seul et presque aveugle dans son faré des îles Marquises. Sous la plume de Mario Vargas Llosa, Flora Tristan et Paul Gauguin deviennent Florita l’Andalouse et Koké le Maori, deux êtres libertaires, passionnés, profondément humains, hantés par une quête de l’absolu qui donne à leur vie une dimension tragique, et qui vécurent l’enfer pour avoir désespérément voulu bâtir le Paradis. À travers les destins croisés d’une militante et d’un artiste, Mario Vargas Llosa évoque, dans un roman à la construction magistrale, les grandes utopies politiques et artistiques des temps modernes.

  • Javier Cercas

    LES SOLDATS DE SALAMINE

    POCHE 4,00

    A la fin de la guerre civile espagnole, l’écrivain Rafael Sánchez Mazas, un des fondateurs de la Phalange, réchappe du peloton d’exécution des troupes républicaines défaites qui fuient vers la frontière française. Un soldat le découvre terré derrière des buissons et pointe son fusil sur lui. Il le regarde longuement dans les yeux et crie à ses supérieurs : “Par ici, il n’y a personne !” La valeur qu’il entrevoit au-delà de l’apparente anecdote historique pousse un journaliste, soixante ans plus tard, à s’attacher au destin des deux adversaires qui ont joué leur vie dans ce seul regard. Il trace le portrait du gentilhomme suranné rêvant d’instaurer un régime de poètes et de condottieres renaissants, quand surgit la figure providentielle d’un vieux soldat républicain. L’apprenti tourneur catalan, vétéran de toutes les guerres, raconte : les camps d’Argelès, la légion étrangère, huit années de combats sans relâche contre la barbarie fasciste. Serait-il le soldat héroïque ? L’homme laisse entendre que les véritables héros sont tous morts, tombés au champ d’honneur, tombés surtout dans l’oubli ; que les guerres ne seraient romanesques que pour ceux qui ne les ont pas vécues. Ce livre, qui a bouleversé l’Espagne, entreprend une carrière internationale sans précédent.

  • Evelio Rosero

    LES ARMÉES

    BROCHÉ 9,50

    Perché dans un oranger de son jardin, Ismael regarde sa jolie voisine prendre un bain de soleil de l’autre côté du mur. Ismael a toujours aimé regarder les femmes, Otilia son épouse pense que c’est une honte, un instituteur à la retraite ne doit pas devenir un vieux voyeur. San José était une jolie petite ville colombienne avant que des gens ne commencent à disparaître et que des hommes en armes que personne ne peut identifier ne patrouillent dans les rues et se battent sur les places. L’atmosphère du village se dégrade et Ismael perd confiance dans ses capacités. Un matin au retour de sa promenade il apprend que ses voisins ont été enlevés et qu’Otilia, inquiète, est partie à sa recherche dans le village. Les habitants s’enfuient mais il décide de rester pour attendre Otilia.Evelio Rosero nous montre le monde du point de vue du vieil instituteur dont la stabilité mentale s’effondre lorsque le village est dévasté, il nous donne à voir ce qu’est la violence arbitraire et irrationnelle exercée sur des otages anonymes par la guérilla colombienne. Mais Rosero aborde ce thème usé de façon radicalement différente. Parce que le narrateur est un vieillard et le cadre des ruines, le style est hésitant, syncopé, toujours au bord de l’hésitation. Au lieu de raconter la dégradation et la violence, l’auteur compose un roman dégradé et violent.Ce livre à reçu le premier prix Tusquets à Guadalajara en 2006, dont le jury était présidé par Alberto Manguel.Evelio Rosero est né à Bogotá en 1958. Il est l’auteur de nombreux romans et recueils de nouvelles, il a reçu le Prix national de littérature du ministère de la Culture de Colombie en 2006. Il est traduit en France pour la première fois.

  • Rafael Reig

    LA POSITION DU PION

    BROCHÉ 9,50

    Sur les hauteurs de Madrid, des “couples d’amis” boivent des cocktails et attendent leur ancien leader, Luis Lamana, alias le Gros, de retour des Etats-Unis. Ex-militants communistes, reconvertis en bourgeois de la transition espagnole, ils ont fondé des familles et remisé leurs utopies. Johnny, rejeton lucide de cette génération, cherche son père et enquête sans trop de conviction sur le meurtre jamais résolu d’un de ses amis d’enfance. Avec une acidité qui n’exclut pas la tendresse, il réécrit le passé et tire à boulets rouges sur cette petite société abonnée aux hypocrisies et aux renoncements. Rafael Reig est un narrateur impitoyable, cynique et pince-sans-rire : il convoque ses personnages au tribunal de l’histoire selon une mécanique précise de galerie des glaces – superposition des époques, vertige des destins individuels, puissance de l’ellipse. Ce qui pourrait n’être qu’un règlement de comptes générationnel devient alors une histoire universelle : peut-on vraiment demander des comptes à chaque génération ? Qui est coupable, dans l’histoire ?

  • Luis Sepulveda

    HISTOIRE DE LA MOUETTE ET DU CHAT QUI LUI APPRIT À VOLER

    BROCHÉ 3,50

    Zorbas le chat grand noir et gros a promis à la mouette qui est venue mourir sur son balcon de couver son dernier oeuf, de protéger le poussin et de lui apprendre à voler Tous les chats du port de Hambourg vont se mobiliser pour l’aider à tenir ces promesses insolites. A travers les aventures rocambolesques et drôles de Zorbas et Afortunada, on découvre la solidarité, la tendresse, la nature et la poésie.

  • Lídia Jorge

    LE RIVAGE DES MURMURES

    POCHE 5,50

    Mozambique, vers 1970. L’armée portugaise maintient l’ordre. Dans un hôtel de la côte, les femmes d’officiers attendent le retour des maris et Evita se demande comment les maléfices de la guerre ont transformé son mari, doux mathématicien, en égorgeur ( … ). L’offensive se termine. Les officiers rentrent les comptes se règlent dans l’honneur, la virilité ( … ). Lidia Jorge a vu l’essentiel : la fragilité des guerriers en treillis léopard au cœur de l’Afrique, au cœur des femmes. Jean Soublin, L’Express Le Rivage des murmures n’est pas qu’un foyer d’images, c’est aussi et d’abord une réflexion sur la fascination guerrière, l’attraction, la gravité étrange qui capture les âmes des hommes, les dévie de leur destinée apparente pour les mettre en orbite autour de la mort. Olivier Rolin, Le Figaro Un climat délétère admirablement rendu par la romancière qui a elle-même vécu ces événements. Christian Cavailles, Lire

  • Javier Moro

    LE SARI ROSE

    POCHE 4,50

    Le destin tient parfois à un regard. Quand Sonia, étudiante italienne à Cambridge, rencontre celui de Rajiv, jeune indien discret, elle ne se doute pas qu’au-delà d’un homme, c’est une nation entière qu’elle va épouser. Rajiv, petit-fils de Nehru, fils d’Indira Gandhi, est promis à devenir le leader politique de l’Inde. Un amour qui fera d’elle l’unique héritière de la dynastie des Gandhi.Javier Moro est né en Espagne en 1955. Scénariste, il est aussi l’auteur du Pied de Jaipur, des Montagnes de Bouddha et d’ Une passion indienne, disponible en Points.« Une saga passionnante. »ElleTraduit de l’espagnol par François Rosso

  • H.Rivera Letelier

    LA REINE ISABEL CHANTAIT DES CHANSONS D’AMOUR

    POCHE 4,50

    Dans une des compagnies salpêtrières perdues dans les vastes étendues délirantes du désert d’Atacama, on enterre Isabel, une prostituée, qui y travailla depuis l’âge de 11 ans. Hernan Rivera Letelier, ancien mineur du salpêtre, nous raconte dans un style puissant et burlesque cet enterrement et la fin d’un univers à la fois désespéré et débordant de vitalité.

  • Gabriel Garcia Marquez

    L’AUTOMNE DU PATRIARCHE

    POCHE 3,50

    Depuis trente ans, plusieurs grands romans latino-américains nous ont décrit par le menu le monde hallucinant de la dictature « à l’américaine » : délation, exactions de tous ordres, assassinats, exterminations même, bestialité, cupidité, abus sexuels, protections étrangères, soif maladive de pouvoir que finalement la solitude transforme en frustration. Cette réalité tragique, nous la retrouvons tout au long de ce roman, mais sous la plume de García Márquez elle prend une dimension burlesque incomparable.Le patriarche est ici un dictateur dans la grande tradition de l’Amérique latine. C’est un vieux général qui a « entre 107 et 232 ans ». Tyran méfiant et délirant, les structures minables de son pays arriéré le vouent à des aventures cauchemardesques que l’imagination non moins délirante de Gabriel García Márquez transforme en folles équipées drolatiques.Cocasserie, jaillissement incessant de trouvailles, ruissellement de mots qui brillent comme d’insolites pierres précieuses : on retrouve dans L’Automne du patriarche toute la magie de Cent ans de solitude.

  • ROMANS PICARESQUES ESPAGNOLS

    RELIÉ 25,00

    Ce volume contient

    Anonyme : La Vie de Lazare de Tormes. Mateo Alemán : Le Gueux ou la vie de Guzman d’Alfarache. Francisco de Quevedo : La Vie de l’aventurier Don Pablos de Segovie.

  • Lucía ETXEBARRIA

    UN MIRACLE EN ÉQUILIBRE

    POCHE 4,00

    Loin des clichés, Lucía Etxebarria livre, à travers cette longue lettre d’une jeune mère à sa fille, une réflexion jubilatoire sur la féminité actuelle. Tour à tour drôle, piquante et poétique, elle lui parle des désirs multiples et parfois contraires qui tiraillent le cœur de la femme moderne : être indépendante, attirante, active, aimante, l’une après l’autre ou toutes à la fois. Elle lui parle aussi de ses doutes d’écrivain et de l’inspiration capricieuse. Ce roman bourré d’humour et d’émotion a reçu le prestigieux prix Planeta, équivalent espagnol du prix Goncourt. ” Lucía Etxebarria décape la maternité avec l’humour qu’on lui connaît, mais aussi avec une profondeur et une émotion nouvelles ” Olivia de Lamberterie, Elle

  • Rodrigo Fresan

    LES JARDINS DE KENSINGTON

    POCHE 4,00

    Jim voyage à travers les âges pour ne pas grandir. Sur sa chronocyclette, il va des swinging sixties à l’Angleterre victorienne, et inversement. Il adore Star Treck et se déplace en fiacre. Il est fan des Beatles et ami avec James Barrie, ce grand écrivain oublié. La vie de Jim Yang est un rêve éveillé. Car comme Peter Pan, sa seule patrie est au-delà du temps: c’est celle de la jeunesse éternelle. Né en 1963 à Buenos Aires, Rodrigo Fresán est auteur de romans et de nouvelles traduits dans toute l’Europe et aux États-Unis. Il est l’un des chefs de file du renouveau littéraire latino-américain.« Rodrigo Fresán livre ses plus belles pages sur l’enfance. »Le Monde des livresTraduit de l’espagnol (Argentine) par Isabelle Gugnon

  • Paulo Coelho

    ADULTÈRE

    BROCHÉ 9,50

    Linda a 31 ans et, aux yeux de tous, une vie parfaite : elle a un mari aimant, des enfants bien élevés, un métier gratifiant de journaliste et habite dans une magnifique propriété à Genève. Cependant, elle ne supporte plus de faire semblant d’être heureuse quand, en vérité, elle ne ressent rien d’autre qu’un sentiment grandissant d’apathie et d’indifférence. Jusqu’au jour où elle retrouve un ancien petit ami. Jacob est un homme politique de premier plan et, lors d’une interview, il éveille en elle un sentiment oublié depuis longtemps : la passion. Elle fera tout pour conquérir cet amour impossible et devra aller au plus profond d’elle-même pour enfin trouver le bonheur.

  • Lucía ETXEBARRIA

    AIME-MOI, POR FAVOR !

    POCHE 3,50

    Fou, impossible, fusionnel, contre nature, examiné dans tous ses états mais toujours du point de vue des femmes, l’amour est le fil secret qui traverse ces histoires. D’un bout à l’autre du spectre social, ces quinze instantanés dressent un bilan choc de la condition féminine au XXIe siècle. Impertinente, Lucía Etxebarria croque sans concession et avec un humour cru les relations homme-femme, femme-femme, et plus si affinités… Sa morale, ” plutôt seule que mal accompagnée “, touche aux nerfs de nos existences chaotiques et retrouve la densité d’Amour, Prozac et autres curiosités. Une virée speed au cœur de la féminité vraie et émouvante. ” Un drôle de kaléidoscope affectif, bien fracassé. ” Clémence Boulouque, Madame Figaro

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