Littérature russe
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ONCLE VANIA
POCHE 4,90€Le vieux professeur Sérébriakov est venu se retirer à la campagne, dans la maison de sa première épouse. Cette arrivée perturbe la vie paisible de Sonia, la fille du professeur, et doncle Vania, qui à eux deux exploitent tant bien que mal le domaine. Dautant que lattention des proches, y compris celle de Vania, se cristallise bientôt sur Eléna, la seconde et très désirable épouse. Dans ce drame, la capacité de Tchekhov à reproduire des atmosphères, sa langue même signalent lessentiel : que la beauté vient de la simplicité et que les personnages puisent dans le quotidien, même trivial et résigné, le sens de leur existence.
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CAHIERS
POCHE 5,50€Voici le texte intégral, non expurgé, du journal du plus grand danseur de son temps. Rédigés au cours de lhiver 1918-1919, alors que Vaslav Nijinski résidait en Suisse avec sa femme Romola et leur fille Kyra, ces cahiers se présentent comme le témoignage bouleversant dune vie de création faite de gloire et de souffrances. Alors âgé de vingt-neuf ans, sur le point de sombrer dans la folie, lartiste évoque sa douleur de vivre et relate sa quête humaine et spirituelle à travers son art et dans sa vie quotidienne. Répétitive, obsessionnelle, violente, sa prose, parfois incohérente, saccorde avec le souhait de son auteur : donner plus à ressentir quà comprendre.
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DERSOU OUZALA
POCHE 5,80€« Cet homme mintéressait. Il avait quelque chose de particulier. » (Vladimir Arseniev) «D»«ersou Ouzala» est certes un film de Kurosawa (1975), mais cest dabord un livre publié en 1921 à Vladivostok. Arseniev (1872-1930) y raconte, sous la forme dun roman, lhistoire vraie dune amitié. Officier et topographe, il explorait en 1902, aux confins de la Sibérie et de la Chine, des régions encore inconnues des Européens. Une nuit, au cur de la taïga, il rencontra un vieux chasseur gold, Dersou Ouzala Luvre valut à son auteur dêtre honoré par Gorki comme le Fenimore Cooper de la Russie.
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UNNA
POCHE 4,90€La carrière dUnna, petite fille de la toundra tchouktche, est tout bonnement exemplaire. Précocement russifiée, sédentarisée et convertie aux valeurs soviétiques, elle sarrache sans regret à son milieu dorigine, affirme ses qualités de militante, poursuit une impétueuse ascension politique. Mais quelques faiblesses se manifestent lorsque, jeune femme, elle croise le chemin dun violoncelliste juif dont elle séprend. Alors le vent tourne pour Unna, ou plutôt contre elle, et sévèrement La fiction condense ici magnifiquement lhistoire collective pour témoigner de la dépersonnalisation de tout un peuple soumis dès les années 1960 à un inexorable processus dacculturation.
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LA GUERRE ET LA PAIX 1
POCHE 5,50€Au début du XIX? siècle, Pierre Bézoukhov, fils illégitime héritier d’une grande fortune, et son ami André Bolkonsky, officier tourmenté, évoluent dans une haute société russe francophile et mondaine qui ne tardera pas à être rattrapée par les tourments de la guerre qui s’annonce. Le parcours spirituel et politique de Pierre, comme le trajet militaire d’André, est inséparable du destin contrarié de la Russie : Saint-Pétersbourg et Moscou, la campagne et la ville, la Sibérie et l’Europe… La Russie est bicéphale, tragiquement clivée par le désir patiné de haine qui l’attache au reste de l’occident. La France et Napoléon sont l’incarnation de cet idéal policé et calculateur : un ennemi mortel que les personnages admireront avant de le combattre. Au coeur des guerres napoléoniennes qui ravagèrent le vieux continent, Tolstoï tourne les pages d’un roman immortel : l’âme russe.
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LA PARTIE DE DAMES
BROCHÉ 5,00€Afanassi, un valet de chambre russe, raconte sa vie au service de celle qu’il appelle ” Mademoiselle “, au début de ce siècle, à l’époque de la Révolution Russe. Aventures tumultueuses qui les conduiront de Crimée à Paris en passant par Odessa, à la recherche très improbable de celui sur qui Mademoiselle a jeté son dévolu amoureux : Pierre Loti. Mais très vite, les histoires d’Afanassi rejoignent l’imaginaire de la narratrice. Dans un texte intitulé Langue étrangère (revue L’écrit du temps, Minuit 1987), Nata Minor écrivait : ” Qu’en est-il de ceux qui, tentant d’écrire dans une langue d’usage – pour eux, langue d’adoption – s’acharnent à leur insu à trouver le mot juste qui reprendra en un seul son tout le suc des mots de la langue maternelle. Comme s’il s’agissait de restaurer, sur le terrain de leur scène quotidienne, le paysage d’une terre éloignée, d’une langue à présent oubliée ou déchue. “
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LA SUPPLICATION : TCHERNOBYL, CHRONIQUE DU MONDE APRÈS L’APOCALYPSE – PRIX NOBEL DE LITTÉRATURE 2015
POCHE 3,00€” Des bribes de conversations me reviennent en mémoire… Quelqu’un m’exhorte : – Vous ne devez pas oublier que ce n’est plus votre mari, l’homme aimé qui se trouve devant vous, mais un objet radioactif avec un fort coefficient de contamination. Vous n’êtes pas suicidaire. Prenez-vous en main ! ” Tchernobyl. Ce mot évoque dorénavant une catastrophe écologique majeure. Mais que savons-nous du drame humain, quotidien, qui a suivi l’explosion de la centrale ? Svetlana Alexieviteh nous fait entrevoir un monde bouleversant celui des survivants, à qui elle cède la parole. Des témoignages qui nous font découvrir un univers terrifiant. L’événement prend alors une tout autre dimension. Pour la première fois, écoutons les voix suppliciées de Tchernobyl.
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SOUVENIRS ET RÉCITS
RELIÉ 28,00€Ce volume contient :
Enfance, Adolescence, Jeunesse – Souvenirs – Les Récits de Sébastopol – Le Bonheur conjugal – Les Cosaques – Polikouchka – Le Cheval – La Mort d’Ivan Ilitch – La Sonate à Kreutzer – Le Diable – Maître et Serviteur – Le Père Serge – Le Faux Coupon – Hadji Mourat.
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LA GUERRE ET LA PAIX
RELIÉ 30,00€Traduction du russe par Henri Mongault. Introduction de Pierre Pascal.
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ANNA KARÉNINE – RÉSURRECTION
RELIÉ 35,00€Traduction du russe par Édouard Beaux, Sylvie Luneau et Henri Mongault. Introduction de Pierre Pascal.
Ce volume contient : Anna Karénine – Dossier d’« Anna Karénine » – Résurrection – Dossier de « Résurrection ».
Couverture abimée.
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LE LIVRE DU BONHEUR
POCHE 4,50€” Son cur fit un tel bond, Véra vit un tel miracle dons le simple fait d’exister et dans tout ce qui se passait autour d’elle, il y avait une telle force dans la pensée qu’elle était unique, qu’elle éclata d’un rire intérieur, se moquant d’elle-même, et de tout. ” En 1923, à Paris, le suicide du célèbre violoniste Sam plonge Véra dans une grande agitation. Avec son ami d’enfance, c’est tout un pan de sa vie qui vient de mourir, convoquant le passé, les souffrances, les doutes. A partir de cet événement aussi essentiel que dramatique, la jeune femme part en quête d ‘un bonheur, celui qu’elle cherchait déjà autrefois, celui qui s’épanouit dans l’amour lorsque, les deuils ayant été accomplis, la joie peut enfin naître au monde.
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LE PAON
POCHE 3,50€Saint Pétersbourg, milieu du XIXe siècle. Une riche veuve vit de la location de ses appartements, régie d’une main de fer par Pavline (Le Paon), l’affranchi devenu suisse. Pas de pitié pour les mauvais payeurs ; la petite Liouba, sa mère et sa grand-mère se retrouvent à la rue… Et c’est Pavline, l’homme qu’on croyait sans cur, qui recueille la petite orpheline, afin de lui donner refuge, éducation et instruction… Les années passent, Liouba tombe amoureuse d’un jeune écervelé qui la traite mal, et sombre dans la mélancolie. Mais Pavline veille et, une fois encore, prendra en main sa destinée et celle de sa protégée – son amour, sa vie… Publié en 1874, ce court roman s’inscrit dans le cycle des justes, où Leskov rejoint de nombreux écrivains russes dans leur quête de gens dont l’héroïsme personnel accuse la machine à broyer de l’ordre régnant. Un texte fort, à la fois romanesque et d’une terrible actualité.
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PREMIÈRES NOUVELLES
POCHE 4,50€En 1880, Anton Tchekhov n’a que vingt ans ; ses études de médecine ne suffisant pas à le nourrir, il s’engage dans l’écriture de nouvelles qui seront aussitôt publiées par d’importantes revues humoristiques. Au fil de leur lecture, on assiste à la naissance d’un écrivain dont la précocité a quelque chose de stupéfiant : autant dans les dialogues que les paysages leur servant de rapide arrière-fond, c’est le génie d’un maître de la nouvelle qui éclate. Mais qu’ils soient farceurs ou tragiques, et bien souvent les deux à la fois, ces courts récits frappent surtout par une exceptionnelle modernité littéraire dont Tchekhov paraît avoir pressenti toutes les facettes.
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LE ROSEAU RÉVOLTÉ
POCHE 3,50€La guerre sépare un couple. En Suède, plus tard, elle retrouve son amant marié. Et le roseau se révolte…
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LA CERISAIE
POCHE 3,50€” Ma pièce est déjà prête dans ma tête. Elle s’appelle La Cerisaie, il y a quatre actes, dans le premier on voit par les fenêtres des cerisiers en fleurs, tout un jardin blanc ininterrompu. Et les dames sont vêtues de blanc. ” (Lettre de Tchekhov, 5 février 1903). Ce domaine enchanté est menacé de disparition, c’est là l’événement qui pèse sur tous les personnages. Cette grande pièce, la dernière de Tchekhov, est la peinture d’une classe qui meurt pour être restée étrangère au monde de l’argent. La Cerisaie a toujours séduit les metteurs en scène par sa richesse, son extraordinaire climat de poésie, la subtilité de ses personnages. La Cerisaie est présentée ici dans la traduction de Jean-Claude Carrière, mise en scène par Peter Brook au Théâtre des Bouffes du Nord en 1981.
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LE LIVRE DU BONHEUR
POCHE 4,00€Elle se tient au-dessus de lui et s’efforce de retrouver dans ce visage trop mort les traits qui, jusqu’à ce qu’elle franchisse le seuil de cette chambre, vivaient dans ses souvenirs. C’est comme si, dans un rêve, elle essayait en vain de replacer un négatif sur une photographie jusqu’à les superposer et qu’il ne reste aucune marque. Elle a dans les mains l’enveloppe sur laquelle sont écrits son adresse, son nom, elle porte des gants, et les larmes qui tombent dessus ne la gênent ni ne la distraient. Elle regarde le cadavre en habit, avec qui elle a vécu tout entière la longue histoire de leur enfance ; sans lui, après, ç’avait été le vide – personne ne pourrait jamais prendre cette place ; elle réfléchit que de l’autre côté de la fenêtre le cinéma continue, la vie continue…
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LES NUITS BLANCHES – LE SOUS-SOL
POCHE 4,00€Une histoire d’amour qui finit mal (Les Nuits blanches) et, dans le Sous-sol, un de ces superbes maniaco-dépressifs comme Dostoïevski sut les inventer avant que Freud les mît à la mode : ” Je suis un homme malade… Je suis un homme méchant. Je suis un homme déplaisant. Je crois que j’ai une maladie de foie. D’ailleurs je ne comprends absolument rien à ma maladie et ne sais même pas au juste où j’ai mal. Je ne me soigne pas et ne me suis jamais soigné. Si je ne me soigne pas, c’est pure méchanceté de ma part. Je sais très bien que ce ne sont pas les médecins que j’embête en refusant de me faire soigner. Je ne fais de tort qu’à moi-même ; je le comprends mieux que quiconque. Et pourtant, c’est bien par méchanceté que je ne me soigne pas. J’ai mal au foie ! Tant mieux !!! “
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SONIETCHKA
POCHE 3,00€Depuis toujours, Sonia puise son bonheur dans la lecture et la solitude. C’est dans une bibliothèque que, à sa grande surprise, Robert, un peintre plus âgé qu’elle, qui a beaucoup voyagé en Europe et connu les camps, la demande en mariage. Avec Robert et, bientôt leur fille Tania, Sonia n’est plus seule, elle lit moins, mais malgré les difficultés matérielles de l’après-guerre, elle cultive toujours le même bonheur limpide, très légèrement distant et ironique. Des années plus tard, Tania introduit à la maison son amie polonaise Jasia, fille de déportés, mythomane, fantasque, aussi jolie que Tania est laide, et goûtant, comme elle, aux jeux amoureux. Jasia devient la maîtresse de Robert. Malgré son chagrin, Sonia est toujours heureuse. Robert meurt. Tania et Jasia s’en vont à leur tour, Sonia se retrouve seule, elle se remet à lire. Elle irradie toujours du même bonheur résolument paisible et mystérieux.
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LA FILLE DU CAPITAINE
POCHE 3,50€A l’âge de seize ans, sur ordre de son père, Piotr Andréïtch Griniov gagne le fort de Bélogorsk où il va servir et, parce qu’il est noble, devenir d’emblée officier. Quoique la vie de garnison ne fût pas faite pour le séduire, son existence devient vite plaisante, en particulier grâce à la présence de Maria Ivanovna, la fille du capitaine, qu’il souhaiterait épouser.Mais, au début d’octobre 1773, on apprend que le cosaque Pougatchov vient de réunir une bande de brigands et se fait passer pour Pierre III, le défunt époux de Catherine II : il ne va pas tarder à prendre le fort d’assaut et ce sera, pour Griniov, l’occasion de montrer qu’il est bien le « chevalier » de Macha.La rébellion de Pougatchov a réellement eu lieu et Pouchkine lui a consacré un livre d’histoire avant de faire paraître en 1836, quelques semaines avant sa mort, La Fille du capitaine. Mais, dans ce roman historique, c’est à Griniov qu’il laisse le soin de raconter à la première personne les menées de ce Pougatchov qu’il affronte et qui, sous ses yeux, sous les nôtres, entre deux moments de férocité, se montre aussi capable d’humanité : fasciné par l’abîme, le brigand devient fascinant.Traduction de Vladimir Volkoff.Edition de Jean-Louis Backès.
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ŒUVRES
RELIÉ 65,00€Nicolas Leskov : Lady Macbeth au village – Platonide et Cotin – Gens d’église – L’Ange scellé – Le Vagabond ensorcelé – Une Famille déchue – Le Chasse-diable – L’Artiste en postiches – Un Bêta.
Saltykov-Chtchédrine : Histoire d’une ville – Les Golovlev – Quatre contes – Deux récits.
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