Littérature asiatique

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  • Yôko Ogawa

    LE PETIT JOUEUR D’ÉCHECS

    POCHE 5,50

    Entre un gamin de sept ans solitaire et sensible et un homme obèse installé avec son chat dans un autobus extraordinaire naît une amitié entretenue par la passion des échecs. Un conte d’une grande douceur qui explore l’univers formel des échecs pour le transposer du côté de l’enfance poétique et rêveuse.

  • Junichirô Tanizaki

    LE CHAT, SON MAÎTRE ET SES DEUX MAÎTRESSES

    POCHE 5,50

    Dans ce brillant divertissement, que l’on peut aussi lire comme une variation sur l’obsession, la jolie petite chatte Lily sert d’otage à une relation triangulaire traitée avec humour, dérision et ironie, sans exclure quelques précieux instants de gravité ou d’émotion.Trois nouvelles antérieures et plus courtes, où l’on voit se construire, pierre après pierre, la cohérence de l’oeuvre de Tanizaki, complètent ce volume : Le petit royaume, Le professeur Radô, et Le professeur Radô revisité.

  • Shûsaku Endô

    UNE FEMME NOMMÉE SHIZU

    POCHE 5,50

    Dans les dix nouvelles qui composent ce superbe recueil, on retrouve les thèmes qu’inlassablement Endô a étudiés et approfondis sa vie durant : le péché, enfoui au fond de la mémoire, l’obsession du rachat, le silence de Dieu, et la question essentielle qui le tortura toute son existence : la souffrance, morale ou physique, a-t-elle un sens ?Au fil des pages surgissent des personnages que nous connaissons déjà : le prêtre défroqué qui cache sa honte, le parjure que le remord détruit, le malade pour qui souffrir signifie expier. Mais aussi des visages lumineux comme celui de Shizu dont la vie s’écoule dans l’attente de l’homme qu’elle aime et dont l’amour, en grande partie rêvé, sera finalement plus réel que bien d’autres.

  • Yukio Mishima

    LA MORT EN ÉTÉ

    POCHE 5,50

    Ces dix nouvelles reflètent à la fois la diversité des talents de Mishima – art du détail comme du développement thématique, art de la description comme de l’ellipse – et la diversité des univers qu’il pénètre. Les hommes d’affaires et leurs épouses, les geishas, les gens du peuple, les acteurs du kabuki, le vieux prêtre du temple de Shiga et les soldats finissent par composer un Japon moderne en butte à ses traditions séculaires. Et tout est là : l’amour vénal, l’amour sublime et sacrilège ; la perversion des femmes et du monde de l’argent ; les superstitions et le sens du sacré ; la mort. La mort accidentelle des enfants. Celle, attendue, d’un vieillard. La mort rituelle, choisie pour l’honneur – ce seppuku que Mishima a exécuté sur lui-même.

  • LE MAHABHARATA, TOME 2

    POCHE 4,20

    Voici, dans ce second volume du Mahabharata, la guerre pressentie depuis le premier livre de l’épopée. La sélection des chapitres dans ces récits de combats s’est fixée pour objectif de mettre en évidence les articulations de la bataille en choisissant les chapitres clés. Reste le sens à donner à l’ensemble. Cette guerre pour la restauration du dharma voit bien les Pandava et Krishna l’emporter. Cependant il n’y a pas de victoire claire ni pour les Pandava qui restent seuls maîtres du terrain, ni même pour Krishna auquel ses ruses valent une malédiction. Les deux armées ennemies sont détruites et la dynastie lunaire aura du mal à sauvegarder un héritier. A l’évidence, le bon roi ne peut triompher sans l’aide de l’avatar, mais celui-ci n’hésite pas pour ce faire à détruire le monde. Il vient même sur terre pour cela car seule la préservation de l’Ordre cosmique l’intéresse. Ce volume comprend les livres VI à XI, un résumé et commentaire des livres XII à XVIII et un glossaire des termes sanscrits. Un premier volume comprend les livres I à V, ainsi qu’une introduction de Madeleine Biardeau. Version abrégée, traduite du sanscrit par Jean-Michel Péterfalvi. Commentaire, résumés et glossaire de Madeleine Biardeau.

  • Collectifs Flammarion

    LE MAHABHARATA, TOME 1

    POCHE 4,20

    Le MAHABHARATA, immense poème sanscrit, est sans doute le plus important monument de la culture indienne. Né autour de l’ère chrétienne, il n’a pas cessé d’être présent à la conscience hindoue. Ce ” grand poème du monde ” raconte la furieuse querelle qui opposa deux groupes de cousins germains, les Pandava et les Kaurava. Ce premier volume expose les origines fabuleuses des personnages, l’enfance des héros, les premières violences et le partage inégal du royaume. Au cours d’une fameuse partie de dés, le sort du royaume se décide : l’aîné des Pandava perd tout au profit des Kaurava, y compris ses frères, lui-même et l’épouse commune des cinq frères, la princesse Draupadi. Les Pandava partent pour 13 ans en exil dans la forêt avec leur épouse. Années d’obscurité, montée des périls, où interviennent dieux et démons, où l’on acquiert des armes meurtrières. En dépit des efforts de Krishna, ” avatar ” de Vishnou descendu sur la terre, tout laisse craindre la fin des temps. Ce volume se termine à la veille de la grande bataille de 18 jours (Livre I à V). Il sera suivi d’un second volume. Version abrégée, traduite du sanscrit par Jean Michel Péterfalvi. Introduction et commentaire par Madeleine Biardeau.

  • Pa Kin

    LA PAGODE DE LA LONGÉVITÉ

    BROCHÉ 6,80

  • Ryû Murakami

    BLEU PRESQUE TRANSPARENT

    POCHE 6,60

    Bleu presque transparent relate, en une succession de courts chapitres, quelques journées dans la vie d’un groupe d’adolescents. Journées ou plutôt nuits vides d’espoir d’une ” génération perdue ” et désillusionnée qui s’abîme dans la destruction. Sexe, drogue, musique, violence… le tableau serait d’une banale désespérance s’il n’y avait ce mélange de distance quasi clinique et d’infinie générosité dans le regard porté sur les personnages. Dans Tôkyô oppressante et triste, Ryû, Kei, Okinawa payent, dans leur corps qu’ils ruinent avec constance, l’absence d’âme d’une société. Et leur déchéance possède la couleur du bleu presque transparent de la pureté.

  • Junichirô Tanizaki

    SVASTIKA

    POCHE 4,50

    À l’image du svastika – une croix qui tourne – les quatre protagonistes de cette histoire tirent tour à tour les ficelles d’une véritable machination amoureuse et diabolique. Sonoko est follement éprise de Mitsuko, jeune bourgeoise ravissante, et entraîne dans cette passion son mari, Mister Husband, et Watanuki, pâle prétendant de Mitsuko. Sonoko rapporte ici tous les détails du complot à un grand écrivain, dans un immense monologue qui constitue le roman lui-même.Svastika, d’une extraordinaire perfection formelle, a paru pour la première fois au Japon en 1928.

  • Xinran

    FUNÉRAILLES CÉLESTES

    POCHE 4,00

    Funérailles célestes est une histoire vraie d’amour et de perte, de loyauté et de fidélité au-delà de la mort. Xinran dresse le portrait exceptionnel d’une femme et d’une terre, le Tibet, toutes les deux à la merci du destin et de la politique. En 1956, Wen et Kejun sont de jeunes étudiants en médecine, remplis de l’espoir des premières années du communisme en Chine. Par idéal, Kej un s’enrôle dans l’armée comme médecin. Peu après, Wen apprend la mort de son mari sur les plateaux tibétains. Refusant de croire à cette nouvelle, elle part à sa recherche et découvre un paysage auquel rien ne l’a préparée, le silence, l’altitude, le vide sont terrifiants. Recueillie par une famille tibétaine, elle apprend à respecter leurs coutumes et leur culture. Après trente années d’errance, son opiniâtreté lui permet de découvrir ce qui est arrivé à son mari… Quand Wen retourne finalement en Chine, elle retrouve un pays profondément changé par la Révolution culturelle. Mais elle aussi a changé: en Chine, elle avait toujours été poussée par le matérialisme; au Tibet, elle a découvert la spiritualité.

  • Li Chi

    TU ES UNE RIVIÈRE

    POCHE 4,20

    Quand Lala devient veuve, elle a trente ans, sept enfants, et en attend un huitième. Soucieuse de conserver le semblant de liberté que lui assure son nouveau statut, elle ne cherche pas à se remarier. Pourtant, en cette année 1964, les temps sont durs en Chine : toute la famille doit se mettre au travail, et jusqu’à sa mort, vingt-cinq ans plus tard, cette femme seule va devoir mener sa barque contre vents et marées. Cruel et ironique souvent mais pétri, toujours, d’une authentique compassion pour les personnages qui l’habitent, ce roman explore la scène d’un roman familial singulier, prisme à travers lequel Chi Li propose de relire un quart de siècle particulièrement mouvementé. Et en analysant la force fondatrice du lien familial elle interroge le complexe rapport de tout enfant à l’amour maternel – objet d’éternelle quête et fardeau si lourd à porter.

  • Haruki Murakami,Corinne Atlan

    KAFKA SUR LE RIVAGE

    POCHE 4,80

    Kafka Tamura, quinze ans, s’enfuit de sa maison de Tokyo pour échapper à la terrible prophétie que son père a prononcée contre lui. De l’autre côté de l’archipel, Nakata, un vieil homme amnésique décide lui aussi de prendre la route. Leurs deux destinées s’entremêlent pour devenir le miroir l’une de l’autre tandis que, sur leur chemin, la réalité bruisse d’un murmure enchanteur. Les forêts se peuplent de soldats échappés de la dernière guerre, les poissons tombent du ciel et les prostituées se mettent à lire Hegel. Conte initiatique du XXIe siècle, Kafka sur le rivage nous plonge dans une odyssée moderne et onirique au cœur du Japon contemporain. ” C’est cruel, beau, cru. Haruki Murakami nous entraîne dans des contrées sauvages jamais fouillées par âme humaine et fait appel à notre souplesse et à notre ouverture. Venez voir ailleurs et autrement ! ” Marie-Laure Delorme, Le Journal du Dimanche

  • Yukio Mishima

    DOJOJI ET AUTRES NOUVELLES

    POCHE 1,50

    De l’univers des geishas aux rites sacrificiels des samouraïs, de la cérémonie du thé à la boutique d’un antiquaire, Mishima explore toutes les facettes d’un Japon mythique, entre légende et tradition. D’une nouvelle à l’autre, les situations tendrement ironiques côtoient les drames les plus tragiques : que ce soit la jolie danseuse qui remet du rouge à lèvres après avoir renoncé à se défigurer avec de l’acide en souvenir de son amant, Masako, désespérée, qui voit son rêve le plus cher lui échapper, ou l’épouse qui se saisit du poignard avec lequel son mari vient de se transpercer la gorge… Quelques textes étonnants pour découvrir toute la diversité et l’originalité du grand écrivain japonais.

  • Yôko Ogawa

    LA FORMULE PRÉFÉRÉE DU PROFESSEUR

    POCHE 4,50

    Une aide-ménagère est embauchée chez un ancien mathématicien, un homme d’une soixantaine d’années dont la carrière a été brutalement interrompue par un accident de voiture, catastrophe qui a réduit l’autonomie de sa mémoire à quatre-vingts minutes. Chaque matin en arrivant chez lui, la jeune femme doit de nouveau se présenter – le professeur oublie son existence d’un jour à l’autre – mais c’est avec beaucoup de patience, de gentillesse et d’attention qu’elle gagne sa confiance et, à sa demande, lui présente son fils âgé de dix ans. Commence alors entre eux une magnifique relation. Le petit garçon et sa mère vont non seulement partager avec le vieil amnésique sa passion pour le base-ball, mais aussi et surtout appréhender la magie des chiffres, comprendre le véritable enjeu des mathématiques et découvrir la formule préférée du professeur… Un subtil roman sur l’héritage et la filiation, une histoire à travers laquelle trois générations se retrouvent sous le signe d’une mémoire égarée, fugitive, à jamais offerte… Yoko Ogawa est née en 1962. Elle a obtenu le prix Kaien pour son premier roman publié en 1988, puis le prestigieux prix Akutagawa en 1991. Son oeuvre, qui ne cesse d’être traduite dans le monde entier, est publiée en France par Actes Sud.

  • Shûsaku Endô

    LE DERNIER SOUPER ET AUTRES NOUVELLES

    POCHE 1,50

    Quel terrible secret de son passé Tsukada tente-t-il d’oublier – ou d’expier – en buvant ? Comment un prêtre occidental, profondément croyant en apparence et qui convertit les Japonais de son entourage, devient-il un défroqué ? Quelle place notre vie laisse-t-elle à la mort ? Au cœur d’un Japon tourné vers l’avenir, Shûsaku Endô essaie de réconcilier traditions ancestrales et enseignement catholique, péché et obsession du rachat, souffrance et courage.

  • Gandhi

    LA VOIE DE LA NON-VIOLENCE

    BROCHÉ 1,50

    La voie de la non-violence n’est pas seulement l’apanage des saints et des sages, mais aussi bien de tous les autres hommes. «La non-violence est la loi de notre espèce, comme la violence est la loi de la brute. L’esprit somnole chez la brute qui ne connaît pour toute loi que celle de la force physique. La dignité de l’homme exige d’obéir à une loi supérieure : à la force de l’esprit.»Dans l’histoire de l’humanité, Gandhi est le premier à avoir étendu le principe de la non-violence du plan individuel au plan social et politique.

  • Musashi Miyamoto

    TRAITÉ DES CINQ ROUES : GORIN-NO-SHO

    POCHE 4,50

    Au XVIe siècle, Miyamoto Musashi, samouraï invaincu par une vie de combats, maître ès armes et esprit de nombreux disciples, se retire dans une grotte quelques mois avant sa mort et rédige ce classique de la littérature universelle : Traité des Cinq Roues.Ce guerrier nous donne en un texte lumineux l’essence des arts martiaux et le secret d’une stratégie victorieuse qui transcende la violence et devient art de vivre et d’agir. Attitude qui explique aujourd’hui les raisons des succès japonais dans tous les domaines.Une leçon à méditer et à pratiquer : car l’esprit de l’art de l’épée peut s’appliquer à tous les gestes de la vie quotidienne.

  • Haruki Murakami

    AUTOPORTRAIT DE L’AUTEUR EN COUREUR DE FOND

    POCHE 4,00

    De la course à l’écriture, il n’y a qu’une foulée que Murakami nomme la vitalité. Pour s’astreindre à une discipline d’écrivain, l’auteur a vendu son club de jazz, arrêté de fumer, commencé à courir, inlassablement, tous les jours. Journal, essai, éloge de la course à pied, au fil de confidences inédites, Murakami nous livre une méditation lumineuse sur la vie. ” Un traité de sagesse à la japonaise, et c’est aussi la source cachée de l’oeuvre de Murakami, l’homme aux semelles de vent qui dévore les mots et le bitume avec la même fringale. ” André Clavel, L’ExpressTraduit du japonais par Hélène Morita

  • Pema Tseden

    NEIGE

    BROCHÉ 9,50

    “Ecrire est pour moi un moyen de parvenir à celte paix tant désirée du corps et de l’esprit. Eu écrivant, on accède à une sorte d’état suprême où le corps et l’esprit prennent un rythme d’une lenteur merveilleuse qui permet de se détendre peu à peu on peut alors pénétrer dans le mode intérieur des personnages de l’histoire que l’on veut conter”. Sept histoires du Tibet par un écrivain qui est aussi un célèbre cinéaste tibétain. Sept histoires où nous cheminons un moment en compagnie d’hommes et de femmes dans le Tibet d’aujourd’hui, loin d’une image folklorique ou idéalisée, un Tibet lointain par ses paysages et proche par son humanité.

  • Jakuchô Setouchi

    LA FIN DE L’ÉTÉ

    BROCHÉ 8,50

    C’est un célèbre roman autobiographique scandaleux, éblouissant de sensibilité, publié en 1962 par une femme qui prit ensuite l’habit de nonne tout en poursuivant une grande carrière d’écrivain au Japon. Une ombre pressée se faufile dans la pénombre des ruelles de Tôkyô. Tomoko va rejoindre celui avec qui elle a vécu avant de devenir la maîtresse officielle de Shingo, un écrivain raté : elle se partage entre eux, au rythme d’un amour sincère fait de connivences avec le second et des pitreries disgracieuses de sa passion physique pour Ryota. C’est ainsi que le rythme profond du récit est donné par les mouvements chaotiques du cœur de Tomoko, prise entre la mécanique d’un double engagement, tout à la fois rédemption et faiblesse, et sa volonté de trouver sa liberté de femme. Puis viendront enfin ces heures d’avril où le froid regagne parfois un peu de vigueur, ce froid particulier que les Japonais ont baptisé hanabie, lorsqu’il vous surprend sous les cerisiers en fleur, ces heures où Tomoko sentira que ” son long voyage avec Shingo avait touché à sa fin “.

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