Littérature française

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  • Francis Lacassin, Pierre Boileau-Narcejac Thomas

    QUARANTE ANS DE SUSPENSE. OEUVRES COMPLÈTES TOME 1

    POCHE 14,55

    L’Ombre et la proie. Boileau-Narcejac.

  • Éric Fottorino

    LES HÉRITIERS DE LA RÉPUBLIQUE

    BROCHÉ 10,20

    « Quelle figure a accompagné, éclairé, voire suscité votre engagement dans la vie publique ? » C’est la question simple qu’Éric Fottorino a posée aux actuels ou futurs dirigeants politiques français.Pour tous, leur engagement s’est nourri des valeurs prônées avant eux par des personnages emblématiques dans lesquels ils se reconnaissent et dont ils s’inspirent. À une époque où les politiques sont discrédités, sévèrement jugés pour leur absence de convictions, leur opportunisme, ce livre montre les références à l’origine de leur parcours. Il nous les dévoile sous un jour inattendu, tissé d’anecdotes révélatrices de leur personnalité, de leur caractère, de leurs aspirations profondes.Bonaparte pour Jean-François Copé, Walesa pour Rachida Dati, Gorz pour Cécile Duflot, Hugo pour François Hollande, De Gaulle pour Marine Le Pen, Jaurès pour Jean-Luc Mélenchon, Malraux pour Valérie Pécresse, Orwell et Camus pour Manuel Valls, Mandela pour Rama Yade… Personnages de l’histoire ou figures contemporaines, les mentors de nos politiques sont variés.Ces portraits, publiés dans l’hebdomadaire L’Hémicycle et repris ici en volume, composent un tableau très riche et étonnant de la République française dans sa dimension historique.

  • Olivia Ruiz

    ÉCOUTE LA PLUIE TOMBER

    BROCHÉ 15,92

    Marseillette, 1977. Dans le café qui l’a accueillie, étouffée, puis révélée, Carmen pleure sa nièce chérie.  À plus de quarante ans, elle se rappelle les personnages qui ont changé sa vie.Ceux qui l’ont fait plonger, l’ont remise dans le droit chemin. Ceux qui ont su percer ses failles et écouter ses désirs. Sans oublier ses soeurs, dont elle partage les stigmates de l’exil mais refuse de suivre la route.Parce qu’après tant d’épreuves, Carmen aussi veut s’inventer un destin…D’une hacienda près de Tolède à la prison madrilène de Ventas où le franquisme fait rage, en passant par un paquebot transatlantique, Olivia Ruiz nous embarque dans les tourments d’une histoire qui s’entremêle à la grande, où l’amour triomphe de la violence.  Un nouveau roman chavirant.« Irrésistible, ce tourbillon vertigineux a les couleurs et les excès, les audaces et la morale réinventée de l’univers de Pedro Almodóvar. » Le Monde des livres« Olivia Ruiz confirme magnifiquement son talent d’écrivaine. » Bernard Lehut, RTL« Son deuxième roman confirme son talent. » Version Femina« Un récit fort entre noirceur et lumière. » La Vie« Une vraie réussite ! » Télématin« Olivia Ruiz est décidément une touche-à-tout de talent. » Le Journal du dimanche«  Olivia Ruiz confirme qu’elle écrit comme elle chante : en équilibre entre l’abrupt et la grâce, le rouge et le noir, le songe et la mémoire.  » Marine de Tilly, Le Point« On prend un plaisir fou à le lire. » France Inter« Un nouveau roman qui confirme son talent d’écrivaine. Un récit incandescent ! » Le Parisien Week-End« Olivia Ruiz écrit aussi joliment qu’elle chante  »  Femme Actuelle« Magnifique  »  Aujourd’hui en France

  • François-René de Chateaubriand

    MÉMOIRES D’OUTRE-TOMBE: LIVRES IX À XII

    POCHE 3,25

    Une “saison en enfer” : voilà ce que retracent les livresIX à XII des Mémoires d’outre-tombe. C’est ainsi du moins que, trente ans plus tard, Chateaubriand définit ce qu’ont été pour lui les années 1792 à 1800. Revenant d’Amérique, le jeune noble breton retrouve Paris dans la tourmente de la Révolution. Aux tableaux hallucinés de la Terreur succède alors le récit de sa fuite : son bref passage dans l’armée des émigrés, puis son exil à Londres. Il y découvrira Shakespeare, Milton, Byron, et y puisera l’inspiration qui fera de lui, à son retour, le père des romantiques. Ces pages rendent compte du choc qu’a provoqué l’irruption de l’Histoire dans la vie d’un homme alors âgé de vingt-quatre ans. Et illustrent brillamment le projet des Mémoires, tel que Chateaubriand l’a formulé dans sa Préface testamentaire : “Si j’étais destiné à vivre, je représenterais dans ma personne, représentée dans mes mémoires, les principes, les idées, les événements, les catastrophes, l’épopée de mon temps.”

  • Emile Zola

    GERMINAL

    POCHE 3,20

     

    ” Le roman est le soulèvement des salariés, le coup d’épaule donné à la société qui craque un instant : en un mot, la lutte du capital et du travail. “

  • Denis Diderot

    PARADOXE SUR LE COMÉDIEN

    POCHE 2,95

    Paradoxe sur le comédien est un essai sur le théâtre rédigé sous forme de dialogue par Denis Diderot entre 1773 et 1777 et publié à titre posthume en 1830. Selon Diderot, qui s’oppose en cela à l’opinion générale de ses contemporains, l’acteur convaincant est celui qui est capable d’exprimer une émotion qu’il ne ressent pas. C’est le paradoxe : moins on sent, plus on fait sentir. Diderot expose deux sortes de jeux d’acteurs : 1° Jouer d’âme qui consiste à ressentir les émotions que l’on joue ; 2° Jouer d’intelligence qui repose sur le paraître et consiste à jouer sans ressentir. Ce paradoxe est le contraste entre l’expression du corps et l’absence d’émotion ressentie de la part de l’acteur, il joue sans éprouver. Il rit sans être gai, pleure sans être triste. L’acteur se sert de son corps comme d’un instrument. Le Paradoxe du comédien met donc en évidence l’écart qui peut exister entre le corps et le psychisme (ce qui n’est pas somatique et relève de l’esprit et de l’intelligence).

  • Rostand Edmond

    CYRANO DE BERGERAC

    BROCHÉ 3,55

    ” Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme ! On pouvait dire… oh ! Dieu !… bien des choses en somme… En variant le ton – par exemple, tenez : Agressif : ” Moi, monsieur, si j’avais un tel nez, Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! ” Amical : ” Mais il doit tremper dans votre tasse ! Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! ” Descriptif : ” C’est un roc !… c’est un pic !… c’est un cap ! Que dis-je, c’est un cap ? C’est une péninsule ! ” Curieux : ” De quoi sert cette oblongue capsule ? D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? ” Gracieux : ” Aimez-vous à ce point les oiseaux Que paternellement vous vous préoccupâtes De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? ” “.

  • Baptiste Beaulieu

    TOUTES LES HISTOIRES D’AMOUR DU MONDE

    POCHE 5,50

    Lorsqu’il découvre dans une vieille malle trois carnets renfermant des lettres d’amour, le père de Jean sombre dans une profonde mélancolie.Jean, lui, tombe des nues : Moïse, son grand-père, y raconte l’histoire de sa vie. Plus incroyable encore, Moïse adresse son récit à une inconnue : Anne-Lise Schmidt.Qui est cette femme ? Et surtout qui était-elle pour Moïse ? Comment quelqu’un de si chaleureux et sensible dans ses lettres a-t-il pu devenir cet homme triste et distant que père et fils ont toujours connu ?Naviguant entre les grands drames du XXe siècle et des histoires d’amour d’aujourd’hui glanées dans une tentative éperdue de faire passer un message à son père, Jean devra percer le lourd secret d’un homme et lever le voile sur un mystère qui va chambouler toute une famille…Baptiste Beaulieu fait un patient travail de tissage de liens humains. Sandrine Cabut, Le Monde des livres.Sacrément touchant. Christilla Pellé-Douël, Psychologies magazine.

  • Franck Pavloff

    LE GRAND EXIL

    POCHE 3,65

    Baños de Agua Santa, au centre de l’Équateur. Un étranger, Tchaka, nouveau venu, se fait engager comme jardinier par un propriétaire terrien. Installé sur les pentes du volcan Tungurahua dont il pressent la reprise d’activité, il découvre qu’une jeune femme y a établi en secret un camp de base destiné à faire passer la frontière aux candidats à l’émigration sans qu’ils tombent sous la coupe des «coyotes». Mais pourquoi ont-ils échoué dans cette zone à risque où une éruption peut à chaque instant tout détruire ? Par l’auteur de Matin brun et du Pont de Ran-Mositar, un roman crépusculaire sur la beauté et la violence d’une nature capable d’exaspérer ou de briser les passions les plus fortes. Ce roman a obtenu le Prix littéraire des Grands Espaces 2010.Une parabole luxuriante sur l’exil, géographique ou intérieur. Anne Berthod, La Vie.

  • Emmanuel Carrère

    LIMONOV

    POCHE 5,80

    Prix Renaudot 2011

    “Limonov n’est pas un personnage de fiction. Il existe. Je le connais. Il a été voyou en Ukraine ; idole de l’underground soviétique sous Brejnev ; clochard, puis valet de chambre d’un milliardaire à Manhattan ; écrivain branché à Paris ; soldat perdu dans les guerres des Balkans ; et maintenant, dans l’immense bordel de l’après-communisme en Russie, vieux chef charismatique d’un parti de jeunes desperados. Lui-même se voit comme un héros, on peut le considérer comme un salaud : je suspends pour ma part mon jugement. C’est une vie dangereuse, ambiguë : un vrai roman d’aventures. C’est aussi, je crois, une vie qui raconte quelque chose. Pas seulement sur lui, Limonov, pas seulement sur la Russie, mais sur notre histoire à tous depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.” Emmanuel Carrère.

  • Pierre BOULLE

    LA PLANÈTE DES SINGES

    POCHE 2,60

    Y a-t-il des êtres humains ailleurs que dans notre galaxie ? C’est la question que se posent le professeur Antelle, Arthur Levain, son second, et le journaliste Ulysse Mérou, lorsque, de leur vaisseau spatial, ils observent le paysage d’une planète proche de Bételgeuse : on aperçoit des villes, des routes curieusement semblables à celles de notre Terre. Après s’y être posés, les trois hommes découvrent que la planète est habitée par des singes. Ceux-ci s’emparent d’Ulysse Mérou et se livrent sur lui à des expériences. Il faudra que le journaliste fasse, devant les singes, la preuve de son humanité…

  • Pierre Jourde

    FESTINS SECRETS

    POCHE 5,00

    Logres. Petite ville grise, inquiétante, étrangement familière. Gilles Saurat, professeur débutant, vient y prendre son premier poste. Le voilà livré au monstre de l’Éducation nationale, qui dispense à une génération de jeunes gens indolents un enseignement perverti par des méthodes pédagogiques aberrantes. Sur place, Gilles trouve à se loger chez une veuve complaisante qui l’introduit dans une bourgeoisie locale oisive s’adonnant à d’étranges cérémonies érotiques. C’est alors que la banale histoire d’un enseignant d’aujourd’hui devient un véritable voyage en enfer… Cet ouvrage a reçu le prix Renaudot des lycéens Cet ouvrage a reçu le Prix Valéry Larbaud 2006, le Prix Renaudot des lycéens 2005 et le Grand Prix Thyde Monnier de la société des gens de lettres 2005.

  • Éric Fottorino

    DIX-SEPT ANS

    POCHE 5,20

    “Lina n’était jamais vraiment là. Tout se passait dans son regard. J’en connaissais les nuances, les reflets, les défaites. Une ombre passait dans ses yeux, une ombre dure qui fanait son visage. Elle était là mais elle était loin. Je ne comprenais pas ces sautes d’humeur, ces sautes d’amour.” Un dimanche de décembre, Lina livre à ses trois fils le secret qui l’étouffe. En révélant une souffrance si longtemps cachée, cette femme dont on a forcé le destin depuis l’adolescence laisse alors éclater toute son humanité et son obstination à vivre libre. Dans le plus personnel de ses romans, Éric Fottorino dresse le portrait solaire et douloureux d’une mère mal connue mais profondément aimée.

  • Philippe Delerm

    LA SIESTE ASSASSINÉE

    POCHE 3,65

    ” Mais la minute qui compte, c’est tout à la fin. Les gestes se sont alentis, le coiffeur vous a délivré du tablier de nylon, qu’il a secoué d’un seul coup, dompteur fouetteur infaillible. Avec une brosse douce, il vous a débarrassé des poils superflus. Et l’instant redouté arrive. Le coiffeur s’est approché de la tablette, et saisit un miroir qu’il arrête dans trois positions rapides, saccadées : sur votre nuque, trois quarts arrière gauche, droite. C’est là qu’on mesure soudain l’étendue du désastre… Oui, même si c’est à peu près ce qu’on avait demandé, même si l’on avait très envie d’être coiffé plus court, chaque fois on avait oublié combien la coupe fraîche donne un air godiche. Et cette catastrophe est à entériner avec un tout petit oui oui, un assentiment douloureux qu’il faut hypocritement décliner dans un battement de paupières approbateur, une oscillation du chef, parfois un “c’est parfait” qui vous met au supplice. Il faut payer pour ça. ” Quelques courts textes, pleins d’humour, qui sont autant de petites madeleines, tantôt venues de la mémoire de l’enfance, tantôt contemporaines, et saisies à la surface du temps.

  • Marc Dugain

    UNE EXÉCUTION ORDINAIRE

    BROCHÉ 5,45

    Au mois d’août de l’an 2000, un sous-marin nucléaire russe s’abîme dans des profondeurs accessibles de la mer de Barents. Vania Altman ferait partie des derniers survivants. Dans un port du cercle polaire, la famille Altman retient son souffle ; elle risque une nouvelle fois de se heurter à la grande Histoire. Un demi-siècle après la mort de Staline, c’est désormais un ancien du KGB qui gouverne la Russie. Après nous avoir fait pénétrer dans les coulisses du FBI avec La malédiction d’Edgar, Marc Dugain offre ici une véritable fresque de la Russie contemporaine. Inspirée de faits réels, elle révèle le profond mépris pour la vie manifesté par les gardiens paranoïaques de l’empire russe.

  • Sa Shan

    LA JOUEUSE DE GO

    BROCHÉ 4,80

    Prix Goncourt des Lycéens 2001

    Depuis 1931, le dernier empereur de Chine règne sans pouvoir sur la Mandchourie occupée par l’armée japonaise. Alors que l’aristocratie tente d’oublier dans de vaines distractions la guerre et ses cruautés, une lycéenne de seize ans joue au go. Place des Mille Vents, ses mains infaillibles manipulent les pions. Mélancolique mais fiévreuse, elle rêve d’un autre destin. «Le bonheur est un combat d’encerclement.» Sur le damier, elle bat tous ses prétendants.Mais la joueuse ignore encore son adversaire de demain : un officier japonais dur comme le métal, à peine plus âgé qu’elle, dévoué à l’utopie impérialiste. Ils s’affrontent, ils s’aiment, sans un geste, jusqu’au bout, tandis que la Chine vacille sous les coups de l’envahisseur qui tue, pille, torture.

  • Simonetta Greggio

    COL DE L’ANGE

    POCHE 3,05

    Nunzio, architecte, a disparu depuis dix-sept jours en laissant derrière lui ses affaires, ses clients, son amant et son amie Blue. Il est mort et il est le seul à connaître la vérité. Mais le voilà qui flotte entre le monde des vivants et celui des morts. Blue ne comprend pas comment Nunzio a pu disparaître de la sorte et entreprend de se rendre au Col de l’ange, leur village natal.

  • Jean Giono

    ARCADIE… ARCADIE

    POCHE 1,20

    La Provence, moderne Arcadie, modèle des contrées heureuses et paisibles, avec ses oliviers argentés, le profil des collines et les couleurs changeantes des bois, les paysans au travail, l’huile d’olive et la vigne… Giono en connaît chaque chemin, chaque pierre, chaque torrent, chaque odeur et chaque bruit.

  • Marguerite Duras

    UN BARRAGE CONTRE LE PACIFIQUE

    POCHE 4,50

    “Les barrages de la mère dans la plaine, c’était le grand malheur et la grande rigolade à la fois, ça dépendait des jours. C’était la grande rigolade du grand malheur. C’était terrible et c’était marrant. Ça dépendait de quel côté on se plaçait, du côté de la mer qui les avait fichus en l’air, ces barrages, d’un seul coup d’un seul, du côté des crabes qui en avaient fait des passoires, ou au contraire, du côté de ceux qui avaient mis six mois à les construire dans l’oubli total des méfaits pourtant certains de la mer et des crabes. Ce qui était étonnant c’était qu’ils avaient été deux cents à oublier ça en se mettant au travail.”

  • Serge Gainsbourg

    EVGUÉNIE SOKOLOV

    POCHE 3,30

    Auteur, compositeur, chanteur, photographe et metteur en scène, Serge Gainsbourg a écrit le roman d’un peintre, Evguénie Sokolov. Un peintre génial et solitaire. Mais quel est le secret de son génie, de ce vibrato du dessin, de cette manière ” sismographique ” qui fait sa gloire ? C’est ce mystère que révèle le roman. Un style froid et précis ajoute à la provocation d’un récit qui expose le destin le plus insolite que l’on puisse imaginer. Sarcastique et drôle, pour raconter une tragique histoire, Serge Gainsbourg nous propose en fait une ” allégorie “.

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