Littérature italienne

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  • Alessandro Baricco

    LA JEUNE ÉPOUSE

    POCHE 4,85

    “Là où elle avait imaginé entrer comme épouse, elle se retrouvera soeur, fille, invitée, présence appréciée et objet décoratif. Y a-t-il des règles qui m’ont échappé ? demanda la Jeune Épouse. Si vous m’y autorisez, je n’en mentionnerai que quatre, histoire de ne pas courir trop de lièvres à la fois. Soit.” Italie, début du XX? siècle. La Jeune Épouse doit se marier avec le Fils. En attendant qu’il rentre d’Angleterre, elle va faire la connaissance de la Famille et de ses secrets bien gardés.

  • Dante Alighieri

    LA DIVINE COMÉDIE : LE PARADIS – PARADISIO

    POCHE 6,00

    Le cœur du grand projet, c’est Le Paradis. Le long poème que nous nommons Divine Comédie a été conçu en fonction du Paradis, lui-même composé à la louange d’une femme, Béatrice, ici transfigurée dans une plus haute plénitude. Le Paradis de Dante, comme L’Enfer ou Le Purgatoire, surprend: aucun repos placide, mais le mouvement incessant, le vol des lumières. Le Paradis, danse de flammes, est éblouissant et dangereux. Le voyageur céleste, guidé enfin par Béatrice, y parcourt des ciels multiples, il y connaît des épreuves, il y éprouve l’éblouissement dans la tension abstraite d’un espace merveilleux et irreprésentable. Il est impossible d’écrire le Paradis, et pourtant le Poème poursuit sa course. La langue de Dante affronte l’impossible, franchit les limites, invente une autre langue, réussit ce que la poésie universelle aura achevé de plus beau. Et l’aventure se termine lorsque, au plus haut terme de la vision, le héros s’absorbe dans l’enfance. Dans l'” amour qui meut le soleil et les autres étoiles “.

  • Dante

    LA DIVINE COMÉDIE : LE PURGATOIRE

    BROCHÉ 6,25

    Quand Virgile et Dante, à l’aube du dimanche de Pâques de l’année 1300, débarquent sur la plage de l’Anti-purgatoire, après avoir traversé les cercles infernaux et reparcouru, à travers un boyau obscur, tout l’espace du centre de la terre à sa surface, l’impression de bonheur est intense, quasi paradisiaque… Au contraire, les récits de voyages imaginaires de la même époque décrivent des purgatoires qui sont des sortes d’enfers : mêmes feux, mêmes tortures – seulement écourtées, seulement ” à terme ” Dante rompt brutalement avec cette tradition ; son Purgatoire semble plutôt tendre vers le Paradis. Malgré les tourments racontés, la mémoire du lecteur garde l’image d’une montagne au milieu de la mer, dans la lumière du soleil, habitée par les anges, rythmée par les manifestations de l’art – sculptures, chants, rencontres de poètes, image d’un lieu où devenir bon signifie devenir léger…

  • Elena Ferrante

    POUPÉE VOLÉE

    POCHE 4,85

    Pourquoi Leda interrompt-elle brusquement ses vacances ? Au bord de la mer, elle était subjuguée par une famille et en particulier une jeune femme, Nina, et sa fille Elena. Quand la petite Elena perd sa poupée, c’est toute la famille qui se mobilise pour la retrouver et ne pas gâcher ses vacances, jusqu’à mener des actions inquiétantes telle une battue organisée sur la plage. Or c’est Leda qui a pris la poupée. Pourquoi ce geste insensé ? Le portrait d’une femme qui oscille entre raison et folie, un subtil jeu de miroirs grossissants servi par une écriture précise qui fouille avec justesse la moindre plaie.

  • Elena Ferrante

    L’AMOUR HARCELANT

    POCHE 4,85

    “À la maison elle vivait humble et fuyante. Mais je soupçonnais, exactement comme mon père, que hors de la maison elle riait différemment, respirait différemment, orchestrait les mouvements de son corps de manière à laisser tout le monde éberlué.” Delia est depuis longtemps habituée aux frasques de sa mère fantasque. Mais le jour où celle-ci est retrouvée mystérieusement noyée, Delia s’interroge. Qui était vraiment Amalia ? La clé se trouve peut-être au coeur de l’histoire familiale. Dans l’atmosphère du Naples d’antan, la quête de l’héroïne est parsemée de rencontres réanimant les violences du passé. Le regard qu’elle porte sur sa mère, à la fois tendre et douloureux, suit les inflexions d’une plume sensuelle et désespérée.

  • Milena Agus

    BATTEMENTS D’AILES

    POCHE 4,00

    Un lieu enchanteur en sardaigne. sur la colline qui domine la mer, au milieu des terres arrachées au maquis, se tient la maison de Madame, dernier bastion de résistance aux barres à touristes. seule, décalée dans ses robes bizarres cousues main et dans son naïf refus de l’argent, Madame n’est pas conforme. elle dérange, mais pas sa jeune amie fantasque, pas le grand-père moqueur, ni le fils aîné des voisins. eux savent…L’étrange talent de Milena Agus porte un nom : la liberté. Martine Laval, Télérama.Miniaturiste et styliste exigeante, Milena Agus livre un nouveau roman inclassable et magnifique. Alexie Lorca, Atmosphères. Le charme du récit, bien que teinté d’érotisme, vient de sa naïveté, de sa pureté. À travers les yeux d’une enfant, Madame devient un personnage légendaire, une princesse de conte de fées sous l’emprise d’un sortilège. Claire Julliard, Journal du Dimanche.

  • Alessandro Baricco

    CHÂTEAUX DE LA COLÈRE

    POCHE 4,30

    Vers le milieu du XIXe siècle, dans la petite ville imaginaire de Quinnipak, vit toute une communauté rassemblée autour de la très belle Jun Reihl, dont toute la ville admire les lèvres, et de son mari monsieur Reihl, directeur de la fabrique de verre. A Quinnipak, chacun a son désir, sa ” folie ” secrète Pekish, l’extravagant inventeur de l'” humanophone “; un orchestre où chacun ne chante qu’une seule note, toujours la même ; Pehnt, son jeune assistant, enfant trouvé toujours vêtu d’une veste immense et informe ; la ” veuve ” Abegg, veuve d’un mari qu’elle n’a jamais épousé ; Horeau, l’architecte français qui rêve de grandioses constructions transparentes, et Elisabeth, la locomotive à vapeur… Avec Châteaux de la colère, Baricco nous offre un roman foisonnant et singulier, construit comme une fugue où chacun chante sa partition avec justesse et jubilation. Prix Médicis étranger 1995.

  • Alessandro Baricco

    NOVECENTO : PIANISTE

    BROCHÉ 3,00

    Né lors d’une traversée, Novecento, à trente ans, n’a jamais mis le pied à terre. Naviguant sans répit sur l’Atlantique, il passe sa vie les mains posées sur les quatre-vingt huit touches noires et blanches d’un piano, à composer une musique étrange et magnifique, qui n’appartient qu’à lui : la musique de l’Océan dont l’écho se répand dans tous les ports.Sous la forme d’un monologue poétique, Baricco allie l’enchantement de la fable aux métaphores vertigineuses.

  • Erri De Luca

    HISTOIRE D’IRÈNE

    POCHE 4,00

    “Toutes les nuits, Irène rejoint la famille des dauphins, onze avec elle, guidés par une femelle adulte. Elle vide pour eux les filets sans les couper, elle descend sur le fond et détache des hameçons les anchois et les morceaux de calamars, elle ouvre les nasses. Avec son couteau italien, elle libère et sauve les siens empêtrés dans les filets. Elle reste avec eux jusqu’à la fin de la nuit. Elle a le même âge que deux des dauphins, une femelle et un mâle. Ils ont grandi ensemble, ils ont exploré les jeux jusqu’à la venue de la maturité.” Dans une langue épurée et puissante, Erri De Luca nous offre ici l’histoire d’une jeune femme vivant sur une île grecque, qui passe ses nuits à nager avec les dauphins. Ce texte est accompagné de deux autres courts récits, Le ciel dans une étable et Une chose très stupide.

  • Italo Calvino

    LE BARON PERCHÉ

    POCHE 4,90

    «Pour bien voir la terre, il faut la regarder d’un peu loin.» En 1767, suite à une dispute avec ses parents au sujet d’un plat d’escargots, le jeune Côme Laverse du Rondeau monte dans l’yeuse du jardin. Il ne descendra plus des arbres jusqu’à sa mort, s’y éveillant au savoir et à l’amour, à la solitude comme à la fraternité. Conte philosophique en hommage au siècle des Lumières, autoportrait d’un excentrique épris de liberté, Le baron perché enchante par son humour généreux, ses constantes inventions, son humanisme intemporel. Le baron perché fait partie de la trilogie Nos ancêtres, qui comprend également Le vicomte pourfendu et Le chevalier inexistant.

  • Stefano Benni

    LE BAR SOUS LA MER

    POCHE 4,50

    Pour sauver un vieil homme qui s’est jeté à l’eau, un promeneur plonge et découvre que le vieillard nage tout simplement vers un bar au fond de la mer ! Il l’accompagne et va vivre là une bien étrange nuit, car les clients de ce bar branché sur les hautes ondes de l’imaginaire se révèlent des conteurs comme on rêve d’en rencontrer. Qui parodie quoi (ou qui) ? Au lecteur de jouer le jeu et d’entrer dans ce labyrinthe de pastiches où se mêlent savoureusement humour et littérature.

  • Luca Di Fulvio

    LE GANG DES RÊVES

    POCHE 5,50

    New York ! En ces tumultueuses années 1920, pour des milliers d’Européens, la ville est synonyme de ” rêve américain “. C’est le cas pour Cetta Luminata, une Italienne qui, du haut de son jeune âge, compte bien se tailler une place au soleil avec Christmas, son fils. Dans une cité en plein essor où la radio débute à peine et le cinéma se met à parler, Christmas grandit entre gangs adverses, violence et pauvreté, avec ses rêves et sa gouaille comme planche de salut. L’espoir d’une nouvelle existence s’esquisse lorsqu’il rencontre la belle et riche Ruth. Et si, à ses côtés, Christmas trouvait la liberté, et dans ses bras, l’amour ? ” Il y a quelque chose de scorsesien chez Di Fulvio. ” Zoé Courtois – lemonde.fr ” Ça se lit comme une saga, un chef-d’œuvre ! ” Gérard Collard – lesdeblogueurs.tv

  • Alessandro Baricco

    TROIS FOIS DÈS L’AUBE

    POCHE 3,50

    “C’était un hôtel, d’un charme un peu suranné qui avait su probablement, par le passé, tenir certaines promesses de luxe et de raffinement. Il avait une belle porte à tambour en bois, un détail toujours propice aux fantasmes. C’est par là qu’une femme entra.” Deux personnages se rencontrent à trois reprises dans un hôtel, jusqu’à ce que l’aube se lève et avec elle, la promesse d’un nouveau départ. Un homme se confie à une femme plus âgée que lui, un portier aide une jeune femme à s’affranchir de son passé et une inspectrice de police cherche à protéger un orphelin. Habilement enchevêtrées, ces histoires donnent à voir l’étendue des talents d’Alessandro Baricco. D’autant plus que le titre n’est pas sans rappeler celui d’un livre mentionné dans son dernier roman… Mr Gwyn.

  • Stefano Benni

    SALTATEMPO

    BROCHÉ 5,50

    Au milieu des années 1950, un jeune campagnard italien rencontre sur le chemin de l’école un être fabuleux, un dieu gargantuesque qui lui offre une montre magique permettant de se projeter dans le futur ou de revivre des scènes du passé. Il devient Saltatempo, doté d’un pouvoir qui, associé à sa rage candide, lui joue parfois des tours. Cela ne l’empêche pas de grandir au milieu des enfants de son âge, partageant avec eux fêtes et matches de foot, avant de partir pour la ville et de vivre des expériences qui feront de lui un homme : sa première manifestation, ses émois amoureux et erotiques, son voyage à Paris en mai 68, son expérience du journalisme… tandis que dans son village natal la spéculation immobilière fait des ravages. Mêlant chronique de la vie d’un rebelle et fantaisie poétique, ce roman plein de fougue et de tendresse a enchanté un grand nombre de lecteurs à travers l’Europe.

  • Andrea Camilleri

    MARUZZA MUSUMECI

    POCHE 2,50

    En 1895, Gnazio Manisco, émigré en Amérique rentre à 47 ans à Vigàta, une ville imaginaire de Sicile, et achète une terre au lieu-dit La Nymphe. Son ancien propriétaire serait décédé d’une mort étrange après avoir entendu des gémissements près d’un olivier millénaire. Par l’intermédiaire d’une entremetteuse, Gnazio rencontre Maruzza Musumeci, une femme d’une grande beauté qui souffrait jusque-là d’un trouble étrange qui l’avait empêché de se marier (elle se prenait pour une sirène). Ils se marièrent, eurent 4 enfants… Il mourut au pied de l’olivier de la maison, et elle, immortalisée en coquillage empli de chants ensorceleurs, continua à ensorceler des générations …

  • Elena Ferrante

    LES JOURS DE MON ABANDON

    POCHE 4,10

    Olga, trente-huit ans, un mari, deux enfants. Un bel appartement à Turin, une vie faite de certitudes conjugales et de petits rituels. Quinze ans de mariage. Un après-midi d’avril, une phrase met en pièces son existence. L’homme avec qui elle voulait vieillir est devenu l’homme qui ne veut plus d’elle. Le roman d’Elena Ferrante nous embarque pour un voyage aux frontières de la folie.

  • Elena Ferrante

    L’ENFANT PERDUE

    POCHE 4,90

    “Comme toujours, Lila s’attribuait le devoir de me planter une aiguille dans le coeur, non pour qu’il s’arrête mais pour qu’il batte plus fort.” Elena, devenue auteure reconnue, vit au gré de ses escapades avec son amant entre Milan, Florence et Naples. Parce qu’elle s’est éloignée du quartier populaire où elle a grandi, Elena redoute les retrouvailles avec son amie d’enfance. Mais depuis quelque temps, Lila insiste pour la voir et lui parler… La saga se conclut en apothéose après avoir embrassé soixante ans d’histoire des deux femmes et de l’Italie, des années 1950 à nos jours. L’enfant perdue est le dernier tome de la saga d’Elena Ferrante. Il succède à L’amie prodigieuse, Le nouveau nom et Celle qui fuit et celle qui reste.

  • Elena Ferrante

    LE NOUVEAU NOM

    POCHE 4,80

    “Si rien ne pouvait nous sauver, ni l’argent, ni le corps d’un homme, ni même les études, autant tout détruire immédiatement.” Le soir de son mariage, Lila, seize ans, comprend que son mari Stefano l’a trahie en s’associant aux frères Solara, les camorristes qu’elle déteste. De son côté, Elena, la narratrice, poursuit ses études au lycée. Quand l’été arrive, les deux amies partent pour Ischia. L’air de la mer doit aider Lila à prendre des forces afin de donner un fils à Stefano. L’amie prodigieuse, Le nouveau nom et Celle qui fuit et celle qui reste sont les trois premiers tomes de la saga d’Elena Ferrante, qui se conclut avec L’enfant perdue.

  • Nicolas Machiavel

    LE PRINCE

    POCHE 3,50

    “Le très pénétrant Machiavel […], cet homme très sage, dont il est évident qu’il fut pour la liberté, pour la défense de laquelle il a donné les conseils les plus salutaires.” Spinoza (Traité politique, V, 7). Chef-d’oeuvre bref et fulgurant, Le Prince est devenu d’emblée un livre classique de la réflexion politique. Adversaires et partisans de la doctrine du Florentin n’ont cessé de s’affronter au cours des siècles, au prix parfois de grands malentendus.

  • Italo Svevo

    L’ASSASSINAT DE LA VIA BELPOGGIO ET AUTRES NOUVELLES

    POCHE 1,50

    ” Tuer était donc si facile ? Un seul instant il s’arrêta dans sa course pour jeter un coup d’œil derrière lui : dans la longue rue éclairée par de rares réverbères il vit, étendu par terre, le corps de cet Antonio dont il ignorait jusqu’au nom de famille… ” A travers l’assassin de la Via Belpoggio, ou à travers les réflexions de Zeno Cosini, Svevo évoque la situation difficile de l’homme, lourd de son passé et inquiet de son avenir. Finalement, seul Umbertino connaît la joie car il est ” encore en dehors de ces questions d’âge “.

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