Littérature hispano-portugaise

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  • Luis Sepulveda

    LE VIEUX QUI LISAIT DES ROMANS D’AMOUR

    POCHE -49% ! 3,00

    Antonio José Bolivar connaît les profondeurs de la forêt amazonienne et ses habitants, le noble peuple des Shuars. Lorsque les villageois d’El Idilio les accusent à tort du meurtre d’un chasseur blanc, le vieil homme se révolte. Obligé de quitter ses romans d’amour – seule échappatoire à la barbarie des hommes – pour chasser le vrai coupable, une panthère majestueuse, il replonge dans le charme hypnotique de la forêt. Luis Sepúlveda est né au Chili en 1949. Best-sellers mondiaux, ses romans traduits dans le monde entier sont disponibles en Points. ” Il ne lui faut pas vingt lignes pour qu’on tombe sous le charme de cette feinte candeur, de cette fausse légèreté, de cette innocence rusée. Ensuite, on file sans pouvoir s’arrêter jusqu’à une fin que notre plaisir juge trop rapide. ” Pierre Lepape, Le Monde Traduit de l’espagnol (Chili) par François Maspero

  • Miguel de Cervantes Saavedra

    DON QUICHOTTE – TOME 1

    POCHE -45% ! 4,50

    « Dans un village de la Manche dont je ne veux pas me rappeler le nom, vivait, il n’y a pas si longtemps, un de ces hidalgos à lance au râtelier, bouclier antique, maigre rosse et lévrier courant. Un pot-au-feu plus vache que mouton, du ragoût tous les soirs ou presque, des lentilles le vendredi, quelque pigeonneau le dimanche en plus de l’ordinaire consommaient les trois quarts de son bien. Le reste filait avec une casaque de bon drap noir et des chausses de velours pour les fêtes avec leurs couvre-pieds assortis ; les jours de semaine il tenait son rang avec un drap fin, gris souris. »Jean-Raymond Fanlo a tant dépoussiéré ce texte fabuleux qu’ il le fait sonner comme une nouveauté. Fabrice Gaignault, Lire.Nouvelle traduction, présentation et notes de Jean-Raymond Fanlo.

  • Miguel de Cervantes

    DON QUICHOTTE – NOUVELLES EXEMPLAIRES

    RELIÉ -71% ! 15,00
  • José-Maria Arguedas

    LES FLEUVES PROFONDS

    BROCHÉ 5,00

    Dans les vallées du Pérou du Sud arrosées par l’Apurímac, le Pachachaca, un avocat pauvre erre de ville en village à la recherche d’une résidence idéale. Son jeune fils, Ernesto, l’accompagne dans ce périple et raconte avec beaucoup de gravité et de poésie comment il découvre le monde à travers cette existence nomade. Et lorsque son père le laisse dans un collège religieux de la province, Ernesto connaît le désarroi au milieu de camarades brutaux ou vulnérables. Au cours de ses escapades, il voit le misérable sort des péons. Lors d’une révolte, il suit les métisses dans leur bruyante émeute. Une épidémie de typhus s’abat sur les hameaux indiens : cette vision digne de l’Apocalypse constitue pour l’enfant le sommet d’une crise où tout, dans sa solitude, lui aura été révélé.

  • Antonio Muñoz Molina

    EN L’ABSENCE DE BLANCA

    BROCHÉ 5,00

    Mario, fonctionnaire dans une petite ville de province, partage sa vie entre son travail et sa passion pour sa femme, Blanca. C’est un jeune homme simple, attaché aux valeurs traditionnelles du travail et du foyer, et si Blanca le fascine à ce point c’est qu’elle représente le côté exquis de la vie, l’insouciance bourgeoise, la fantaisie. Mais peu à peu, Mario sent une menace inquiétante peser sur son couple. Blanca, qu’il a sauvée de la déchéance où s’enfoncent parfois les jeunes filles en quête de sensations fortes, s’évade, échaffaude des projets qu’il ne comprend pas, lui échappe, et entre ces deux êtres que tout oppose l’incompréhension et la souffrance s’installent. L’amour peut-il survivre à sa propre disparition ? La réponse désespérée d’Antonio Muñoz Molina dans ce court roman circulaire est une véritable leçon de stratégie littéraire et de maîtrise absolue du style, bref et magnifique hommage à Flaubert.

  • Gabriel Garcia Marquez

    CENT ANS DE SOLITUDE

    POCHE 3,50

    Cent Ans de solitude. Epopée de la fondation, de la grandeur et de la décadence du village de Macondo, et de sa plus illustre famille de pionnier, aux prises avec l’histoire cruelle et dérisoire d’une de ces républiques latino-américaines tellement invraisemblables qu’elles nous paraissent encore en marge de l’histoire, Cent Ans de solitude est ce théâtre géant où les mythes, comme chez Homère, Cervantes ou Rabelais. Chronique universelle d’un microcosme isolé du reste du monde – avec sa fabuleuse genèse, l’histoire de sa dynastie, ses fléaux et se guerres, ses constructions et ses destructions, son apocalypse – ” boucles de temps ” refermée dans un livre où l’auteur et le dernier de sa lignée de personnages apparaissent indissolublement complices, à cause de ” faits réel auxquels personne ne croit plus mais qui avaient si bien affecté leur vie qu’ils se trouvaient tous deux, à la dérive, sur le ressac d’un monde révolu dont ne subsistait que la nostalgie “. ” Gabriel Garcia Marquez a atteint l’expression la plus parfaite et la plus pathétique de la solitude de l’homme sud-américain. ” Le Monde ” Cent Ans de solitude est un chef-d’œuvre et certainement l’un des meilleurs romans latino-américains à ce jour. Marquez a réussi non seulement un best-seller, mais un best-seller qui mérite son succès. ” Times

  • Gabriel Garcia Marquez

    DE L’AMOUR ET AUTRES DÉMONS

    POCHE 3,00

    ” En 1942, au cours de travaux dans un couvent d’Amérique latine, sont mis au jour les restes d’une adolescente, Sierva Maria de Todos los Angeles. Sa splendide chevelure mesure vingt-deux mètres de long…Le romancier du Général dans son labyrinthe aurait-il tiré cette étrange découverte de sa flamboyante imagination ? Réelle ou fictive, en tout cas, elle est le point de départ d’une singulière histoire d’amour, dans le cadre joyeux, coloré, décadent de Carthagène des Indes, au milieu du XVIIIe siècle.Fille unique du marquis de Casalduero, Sierva Maria a douze ans lorsqu’elle est mordue par un chien couleur de cendre, portant une lune blanche au front.Soupçonnée de rage ou de possession diabolique, enfermée au couvent par l’Inquisition, elle vivra avec son exorciste, Don Cayetano Delaura, une passion folle, destructrice, forcément maudite…Dans ce nouveau chef-d’?uvre à la croisée de l’histoire et de la légende, du mysticisme et de l’érotisme, Gabriel García Marquez recule les frontières du ” réalisme magique ” dont il est l’inventeur.

  • Gabriel Garcia Marquez

    JOURNAL D’UN ENLÈVEMENT

    POCHE 3,00

    Entre août 1990 et juin 1991, le ” Cartel de Medellin ” fait enlever et séquestrer huit journalistes colombiens. Son but : empêcher l’extradition de plusieurs narco-trafiquants vers les Etats-Unis. Le drame se dénouera avec la reddition du chef du Cartel, mais deux otages – deux femmes – auront été abattus.C’est cette histoire d’un affrontement décisif entre un gouvernement démocratique et la mafia la plus puissante de ce temps, véritable Etat dans l’Etat, qu’a choisi de conter le romancier de Cent Ans de solitude, prix Nobel de littérature en 1982. S’appuyant sur les témoignages des protagonistes – en particulier une femme, Maruja Pachon, et son mari, Alberto Villamizar, dont le rôle sera décisif – le grand romancier du ” réalisme magique ” dépeint ici une réalité qui, pour une fois, dépasse la fiction. Les otages et leurs familles, les policiers, les tueurs et les hommes de main, le Président et ses conseillers, les journalistes jouent tour à tour ou simultanément leur rôle dans une négociation difficile, à l’issue incertaine, donnant à cette chronique de morts conjurées la tension haletante d’un thriller.

  • Gabriel Garcia Marquez

    VIVRE POUR LA RACONTER

    POCHE 4,00

    ” La vie n’est pas ce que l’on a vécu, mais ce dont on se souvient et comment on s’en souvient “, écrit Gabriel García Márquez en exergue à ce livre de mémoires d’enfance et de jeunesse.Dans ce roman d’une vie, l’auteur fait revivre, à chaque page, les personnages et les histoires qui ont peuplé son oeuvre, du monde magique d’Aracataca à sa formation au métier de journaliste, des tribulations de sa famille à sa découverte de la littérature et aux ressorts de sa propre écriture.De ce fourmillement d’histoires où les figures hors du commun, les rencontres, les nuits blanches tiennent la plus grande place, surgit peut-être le plus romanesque des livres de Gabriel García Márquez. On y retrouve l’émerveillement de cette Colombie cruelle et fascinante où la nature, le pouvoir, l’alcool, les femmes et les rires ont un goût de folie : celui-là même de Cent ans de solitude et de L’Amour aux temps du choléra.

  • Marias Javier

    DEMAIN DANS LA BATAILLE PENSE À MOI

    POCHE 4,00

    “Jamais personne n’imagine se retrouver un jour avec une morte dans les bras, dont plus jamais il ne reverra le visage et dont seul le nom subsiste.” C’est ce qui arrive à Victor Francés, scénariste pour la télévision, et “nègre” d’une personnalité importante et ignare. Divorcé depuis peu, il est invité un soir à dîner chez Marta Téllez. Dans sa chambre, Marta se sent de plus en plus mal, jusqu’à agoniser et mourir. Cette infidélité non consommée de Marta devient pour Victor une sorte d’envoûtement. Mais, à trois heures du matin, dans un appartement madrilène, que doit faire Victor ? Que faire du cadavre ? Faut-il prévenir le mari ? Que faire de l’enfant endormi ? Dans un Madrid hivernal et nocturne, investi par la brume et les tempêtes comme une île assiégée, le narrateur se transforme en une ombre sans volonté et sans but, ballotté au gré des rencontres.

  • UN COEUR SI BLANC

    POCHE 4,00

    Juan vient d’épouser Luisa, traductrice et interprète comme lui. Depuis son mariage, il éprouve un certain malaise. Vient-il des propos ambigus que lui a tenus son père après la cérémonie ? D’une scène surprise à La Havane pendant son voyage de noces, d’un séjour professionnel à New York, ou tout simplement d’une histoire familiale gardée jusqu’alors secrète ? Le roman s’ouvre sur un suicide magistralement conté et se referme sur une révélation en coups de théâtre successifs, selon les jeux subtils du mensonge et de la vérité, des secrets et des soupçons.

  • VOYAGE À MOTOCYCLETTE: LATINOAMERICANA

    POCHE 5,50

    Le 29 décembre 1951, lorsqu’il monte sur le siège arrière de la Norton 500 de son ami Alberto Granado, Ernesto Guevara ignore encore que cette traversée aventureuse de l’Amérique latine se révèlera être un véritable voyage initiatique à la découverte des peuples opprimés. Un film tiré du livre sera dans les salles le 8 septembre 2004 (l’affiche sera reproduite sur la jaquette du livre). Production : Wildwood Production Distribution en France : Diaphana Réalisation : Walter Salles (Dark Water, Avril brisé, Central do Brasil,?) Dans le rôle du jeune Che Guevara : Gael Garcia Bernal (Attraction fatale, La mauvaise éducation, Sans nouvelles de Dieu)

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