Littérature allemande

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  • Paul Nizon

    CHIEN: CONFESSION À MIDI

    POCHE 3,50

    «Chien» est le livre de la plus radicale des ruptures, l’histoire d’un homme qui a rompu les amarres, quitté sa famille, dénoué tout lien amoureux, répudié les valeurs du travail et de l’appartenance civique. Posté à l’angle d’une rue, déambulant sur les trottoirs, solitaire dans un jardin public, il fouille les poubelles à la recherche d’un vieux journal, savoure les destinées de compagnons lointains : exclus et marginaux, escrocs ou criminels. Et il se souvient. «Chien» est un roman antiromanesque et superbement asocial, un éloge de l’absolue liberté et de la solitude intense, délibérée, conduite par la nécessité extrême de la littérature.

  • Hermann Hesse

    SIDDHARTHA

    POCHE 3,00

    Un jour vient où l’enseignement traditionnel donné aux brahmanes ne suffit plus au jeune Siddhartha. Quand des ascètes samanas passent dans la ville, il les suit, se familiarise avec toutes leurs pratiques mais n’arrive pas à trouver la paix de l’âme recherchée. Puis c’est la rencontre avec Gotama, le Bouddha. Tout en reconnaissant sa doctrine sublime, il ne peut l’accepter et commence une autre vie auprès de la belle Kamala et du marchand Kamaswani. Les richesses qu’il acquiert font de lui un homme neuf, matérialiste, dont le personnage finit par lui déplaire.Il s’en va à travers la forêt, au bord du ßeuve. C’est là que s’accomplit l’ultime phase du cycle de son évolution. Dans le cadre d’une Inde recréée à merveille, écrit dans un style d’une rare maîtrise, Siddhartha, roman d’une initiation, est un des plus grands de Hermann Hesse, prix Nobel de littérature.

  • Iris Hanika

    UNE FOIS DEUX

    POCHE 3,50

    Senta et Thomas, deux êtres que tout oppose, tombent l’un sur l’autre dans un café du quartier de Kreuzberg à Berlin. Coup de foudre, coup de fil : la rencontre est scellée en 127 secondes. Mais, très vite, le doute, la peur s’installent. Les monologues intérieurs des protagonistes témoignent de leur résistance émue, surprise, face à cette histoire. De l’analyse scientifique du sanglot au fragment du discours informatique amoureux, un véritable arsenal stylistique est mis en ?uvre pour dynamiter leur relation, la disséquer avec un humour désopilant, le tout dans la canicule estivale de Berlin, croquée avec la précision d’une Berlinoise d’adoption. Ce roman bourré d’humour, de tendresse aussi, se présente comme un brillant exercice de style sur toutes ces coulées de langage qu’emprunte le désir pour se raconter, se mettre en scène, s’alimenter, bref, s’inspirer… Sophie Deltin, Le Matricule des anges.

  • Stefan Zweig

    VINGT-QUATRE HEURES DE LA VIE D’UNE FEMME

    BROCHÉ 5,00

    Au début du siècle, une petite pension sur la Côte d’Azur, ou plutôt sur la Riviera, comme on disait alors. Grand émoi chez les clients de l’établissement : la femme d’un des pensionnaires, Mme Henriette, est partie avec un jeune homme qui pourtant n’avait passé là qu’une journée. Seul le narrateur prend la défense de cette créature sans moralité. Et il ne trouvera comme alliée qu’une vieille dame anglaise, sèche et distinguée. C’est elle qui, au cours d’une longue conversation, lui expliquera quels feux mal éteints cette aventure a ranimés chez elle. Stefan Zweig est né à Vienne en 1881. Il s’est essayé aux genres littéraires les plus divers : poésie, théâtre, traductions, biographies romancées et critiques littéraires. Mais ce sont ses nouvelles qui l’ont rendu célèbre dans le monde entier. Profondément marqué par la montée et les victoires du nazisme, Stefan Zweig avait émigré au Brésil. Il s’est suicidé en même temps que sa seconde femme à Pétropolis, en février 1942.

  • P. Suskind

    LE PARFUM

    BROCHÉ 4,00

    Au XVIIIe siècle vécut en France un homme qui compta parmi les personnages les plus géniaux et les plus horribles de son époque. Il s’appelait Jean-Baptiste Grenouille. Sa naissance, son enfance furent épouvantables et tout autre que lui n’aurait pas survécu. Mais Grenouille n’avait besoin que d’un minimum de nourriture et de vêtements, et son âme n’avait besoin de rien.Or ce monstre de Grenouille, car il s’agissait bel et bien d’un genre de monstre, avait un don, ou plutôt un nez unique au monde et il entendait bien devenir, même par les moyens les plus atroces, le Dieu tout-puissant de l’univers, car « qui maîtrisait les odeurs, maîtrisait le coeur des hommes ».C’est son histoire, abominable… et drolatique, qui nous est racontée dans Le Parfum, un roman très vite devenu un best-seller mondial, et aujourd’hui porté à l’écran.

  • Patrick Süskind

    UN COMBAT ET AUTRES RÉCITS

    POCHE 2,50

    Lorsque commence la partie d?échecs contre ce jeune inconnu arrogant qui déplace ses pièces sans réfléchir en roulant des cigarettes, le héros d?Un combat, un vieux joueur expérimenté, comprend que sa carrière est finie? Et son public, pourtant fidèle, le croit aussi. L?issue de la partie dira ce qu?il faut penser de certaines « évidences ».N?importe quel artiste, un jour ou l?autre, a entendu parler de « profondeur ».Mais qu?est-ce que la profondeur ? Et qu?est-ce que « manquer de profondeur » ? Voilà une question qui peut décider d?un destin? Patrick Süskind nous offre ici quatre récits étincelants et imprévus, où l?on voit une idée tourner à l?obsession au point d?avaler fantastiquement celui ou celle qui en est la proie?Quatre histoires dans le ton grinçant, drolatique, qui a fait le triomphe du Parfum et de La Contrebasse.

  • Leonie Swann

    QUI A TUÉ GLENN ?

    POCHE 3,50

    Sur une pâture de la verte Irlande, le berger George Glenn est retrouvé assassiné, mais personne dans le pays n’est capable de découvrir son meurtrier. Alors son troupeau prend les choses en main. Ces moutons-détectives ont en commun le désir de s’élever au-dessus de leur condition.Aux côtés de Sir Ritchfield (le doyen), d’Othello (un bélier noir au passé mystérieux) et de Zora (une brebis philosophe et alpiniste qui aime à flirter avec les abîmes), Miss Maple, la plus sage d’entre tous, s’arroge la direction de l’enquête.Best-seller en Allemagne et en Italie, Qui a tué Glenn ? est l’un des romans les plus farfelus et les plus imaginatifs publiés ces dernières années.

  • Peter Handke

    L’ANGOISSE DU GARDIEN DE BUT AU MOMENT DU PENALTY

    POCHE 3,50

    Prix Nobel de Littérature 2019

    Un ancien gardien de but se croit licencié de l’entreprise où il travaille et il quitte tout. Son errance finit par se transformer en vraie fuite après qu’il a étranglé une caissière de cinéma. Il va se livrer à de gratuites et dangereuses extravagances, jusqu’au jour où il assiste à un match de football au cours duquel le gardien de but réussit à arrêter un penalty : sa peur va alors être jugulée. Cet itinéraire intérieur, aux fausses allures de roman policier, permet à Peter Handke de démontrer sa maîtrise.

  • Franz Kafka

    LE PROCÈS

    POCHE 2,50

    On raconte que c’est grâce aux éditions clandestines du samizdat – et donc, sans nom d’auteur – que fut introduite en Union soviétique la traduction du Procès. Les lecteurs pensèrent, dit-on, qu’il s’agissait de l’œuvre de quelque dissident, car ils découvraient, dès le premier chapitre, une scène familière : l’arrestation au petit matin, sans que l’inculpé se sût coupable d’aucun crime, les policiers sanglés dans leur uniforme, l’acceptation immédiate d’un destin apparemment absurde, etc. Kafka ne pouvait espérer une plus belle consécration posthume. Et pourtant, les lecteurs russes se trompaient. Le projet de Kafka n’était pas de dénoncer un pouvoir tyrannique ni de condamner une justice mal faite. Le procès intenté à Joseph K., qui ne connaîtra pas ses juges, ne relève d’aucun code et ne pouvait s’achever ni sur un acquittement ni sur une damnation, puisque Joseph K. n’était coupable que d’exister. Crime capital et à la fin du livre, deux ” messieurs ” l’emmèneront dans une carrière abandonnée et le tueront ” comme un chien “.

  • Goethe

    THEATRE COMPLET

    RELIÉ 20,00

    Le Caprice de l’amant – Les Complices – Gœtz de Berlichingen à la main de fer – Mahomet – Prométhée – Satyros – Les Dieux, les Héros et Wieland – Clavigo – Stella – Frère et sœur – Le Triomphe de la sensibilité – Iphigénie en Tauride – Egmont – Torquato Tasso – Le Grand Cophte – Le Citoyen général – Les Révoltés – La Fille naturelle – Pandore – La Gageure – Faust – Le Second Faust.

  • Goethe

    ROMANS

    RELIÉ 26,00

    Après le Théâtre de Goethe, la Bibliothèque de la Pléiade se devait de réunir en un volume les Romans du plus grand génie littéraire qu’ait jamais eu l’Allemagne.
    On trouvera donc ici : Les Souffrances du jeune Werther, Les Affinités électives, Wilhelm Meister.
    Bernard Groethuysen, avant de mourir, avait consacré à chacun de ces romans une introduction où il rappelait succinctement les circonstances qui présidèrent à leur composition, donnait des repères biographiques et formulait quelques
    remarques exhaustives sur les œuvres proprement dites. On a rassemblé ces introductions ; elles ouvrent le volume et constituent la meilleure préface possible.
    Les nombreuses notes qui accompagnent ces romans ont été établies par les trois traducteurs respectifs.

  • Pascal MERCIER

    TRAIN DE NUIT POUR LISBONNE

    POCHE 4,50

    Éminent professeur de latin, Raimund Gregorius mène à Berne une existence morne. La vision d’une femme sur un pont et la découverte du poète portugais Amadeu de Prado bouleversent brusquement sa vie. Alors que la poésie lui révèle un monde ardent, intime et lumineux, il prend le premier train pour Lisbonne, sur les traces d’Amadeu… et d’une nouvelle raison d’être. ” “S’il est vrai que nous ne pouvons vivre qu’une seule partie de ce qui est en nous, qu’advient-il du reste ?” Cette question, parmi tant d’autres, est portée par une écriture venue de loin, classique et ample, apaisante pour mieux dire les dévorations face aux questionnements d’une vie. ” Clémence Boulouque – Le Figaro Traduit de l’allemand par Nicole Casanova

  • Beate Teresa HANIKA

    LE GOÛT SUCRÉ DES SOUVENIRS

    BROCHÉ 9,50

    Dans la lignée de Un goût de canelle et d’espoir, un premier roman doux-amer qui entremêle les destins d’une vieille dame et d’une jeune fille. Délicieusement subtil et poétique. Elisabetta Shapiro, 80 ans, vit seule dans sa maison familiale au cœur de Vienne. De son enfance, elle a conservé des dizaines de pots de confiture d’abricot. Tous sont soigneusement étiquetés et indiquent l’année de leur fabrication. Véritable madeleine de Proust, la confiture fait immanquablement jaillir les souvenirs : les jours tranquilles rythmés par les chants de sa mère, Franz, le voisin dont elle était follement amoureuse, ses grandes sœurs qu’elle jalousait secrètement. Et puis la montée du nazisme dans les années 1930, l’arrestation de toute sa famille par les SS, la solitude et la perte des repères. Quand Pola, une jeune danseuse, emménage chez la vieille dame, ses habitudes sont chamboulées. D’autant plus que Pola lutte elle aussi contre ses propres démons. Malgré leurs différences, les deux femmes vont peu à peu se rapprocher et nouer des liens plus forts qu’elles ne l’auraient imaginé.

  • Kai Hermann,Horst Rieck

    MOI, CHRISTIANE F., 13 ANS, DROGUÉE, PROSTITUÉE…

    POCHE 3,50

    Témoignages recueillis par Kai Hermann et Horst Rieck

  • Leopold von SACHER-MASOCH

    LA VÉNUS À LA FOURRURE

    POCHE 3,00

    La Vénus à la fourrure commence par un rêve ; l’ami (le narrateur) se souvient avoir fait un rêve étrange. Une Vénus romaine est venue lui rendre visite. L’homme se réveille, habité par ce rêve ; il s’empresse de le raconter à son ami Séverin. Ce dernier lui remet un manuscrit intitulé Confessions d’un suprasensuel. L’homme plonge alors dans la lecture du journal intime et le passé de Séverin. Un autre récit commence, qui relate sa liaison amoureuse avec Wanda von Dunajew. Régulièrement, Séverin se rend dans un jardin pour caresser et baiser les pieds de sa bien-aimée, Vénus, une statue de pierre. Un soir de pleine lune, il rencontre une jeune veuve, Wanda. Séverin est troublé par cette femme qui clame haut et fort ses principes : briser la morale, fouler aux pieds le christianisme, n’obéir qu’aux lois du plaisir. Il se sent attiré par cette créature qui pourrait incarner sa Vénus. Afin de concrétiser sa liaison avec Wanda, Séverin imagine et rédige un contrat : il s’engage à être son domestique, son esclave, son jouet même, et à subir toutes les humiliations qu’elle jugera bon de lui infliger. En contrepartie, Wanda accepte d’être toujours vêtue d’une fourrure et d’incarner l’idéal de Séverin : une Vénus à la fourrure du Nord…

  • Adelbert de Chamisso

    L’ETRANGE HISTOIRE DE PETER SCHLEMIHL

    POCHE 2,00

    Pour avoir vendu son ombre au Diable contre la bourse inépuisable de Fortunatus, Peter Schlemihl va connaître une existence de proscrit. Chacun se détourne avec effroi de ce voyageur fastueux et munificent mais qui n?est plus un homme comme les autres. Condamné à vivre loin de la lumière pour masquer sa singularité, il tentera sans succès de reprendre son bien à l?Homme Gris. Mais un miraculeux hasard l?engagera dans la voie de l?expiation, du vrai savoir et de la rédemption. Ce récit fantastique et philosophique, écrit en 1813, est l?une des ?uvres narratives les plus saisissantes du romantisme allemand. Il est à l?origine d?un mythe moderne dont on n?a pas encore épuisé la richesse.Présentation et notes de Marie-France Azéma.

  • Alex Capus

    LÉON ET LOUISE

    POCHE 4,50

    Le jour des obsèques du grand-père, la famille est en train d’attendre le prêtre dans la cathédrale Notre-Dame de Paris lorsqu’une petite dame énergique s’approche du cercueil, pose un baiser d’adieu sur le front du défunt et, souriant malicieusement en direction de l’assistance, actionne une vieille sonnette de vélo. Dans les premières rangées, on chuchote. S’agit-il de la fameuse Louise, le grand amour du grand-père Léon ? Ils n’avaient pas vingt ans lors de leur rencontre dans un petit village français vers la fin de la Première Guerre mondiale. Bientôt séparés par les hasards de l’Histoire et les vents contraires du destin, les deux jeunes gens ne s’oublieront jamais, quelle que soit l’époque traversée, la Première Guerre en Normandie, l’Occupation à Paris… En explorant la vie secrète de son propre grand-père sur plus de quarante ans, Alex Capus signe le roman d’un amour plus fort que le tourbillon de la vie, une épopée intime irrésistible.

  • Hans Fallada

    SEUL DANS BERLIN

    POCHE 4,00

    Mai 1940, on fête à Berlin la campagne de France. La ferveur nazie est au plus haut. Derrière la façade triomphale du Reich se cache un monde de misère et de terreur. Seul dans Berlin raconte le quotidien d’un immeuble modeste de la rue Jablonski, à BerlinPersécuteurs et persécutés y cohabitent. C’est MmeRosenthal, juive, dénoncée et pillée par ses voisins. C’est Baldur Persicke, jeune recrue des SS qui terrorise sa famille. Ce sont les Quangel, désespérés d’avoir perdu leur fils au front, qui inondent la ville de tracts contre Hitler et déjouent la Gestapo avant de connaître une terrifiante descente aux enfers. De Seul dans Berlin, Primo Levi disait, dans Conversations avec Ferdinando Camon, qu’il était ” l’un des plus beaux livres sur la résistance allemande antinazie “. Aucun roman n’a jamais décrit d’aussi près les conditions réelles de survie des citoyens allemands, juifs ou non, sous le IIIe Reich, avec un tel réalisme et une telle sincérité

  • Katharina Hagena

    LE GOÛT DES PÉPINS DE POMME

    POCHE 3,50

    À la mort de Bertha, ses trois filles et sa petite-fille, Iris, la narratrice, se retrouvent dans leur maison de famille, à Bootshaven, dans le nord de l’Allemagne, pour la lecture du testament. À sa grande surprise, Iris hérite de la maison. Bibliothécaire à Fribourg, elle n’envisage pas, dans un premier temps, de la conserver. Mais, à mesure qu’elle redécouvre chaque pièce, chaque parcelle du merveilleux jardin, ses souvenirs font resurgir l’histoire émouvante et tragique de trois générations de femmes. Un grand roman sur le souvenir et l’oubli.

  • Daniel Glattauer

    LA SEPTIÈME VAGUE

    POCHE 4,00

    Leo Leike était à Boston en exil, le voici qui revient. Il y fuyait la romance épistolaire qui l’unissait en esprit à Emmi. Elle reposait sur trois principes : pas de rencontres, pas desexe, pas d’avenir. Faut-il mettre un terme à une histoire d’amour où l’on ne connaît pas le visage de l’autre ? Où l’on rêve de tous les possibles ? Où les caresses sont interdites ? “Pourquoi veux-tu me rencontrer ?” demande Leo, inquiet. “Parce que je veux que tu en finisses avec l’idée que je veux en finir”, répond Emmi, séductrice. Alors, dans ce roman virtuose qui joue avec les codes de l’amour courtois et les pièges de la communication moderne, la farandole continue, le charme agit, jusqu’au dernier mail…La Septième Vague est comme une série télé : on en devient vite accro. Bruno Corty, Le Figaro littéraire.

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