Pierre Corneille

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    POLYEUCTE

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    Dans une Arménie soumise à la Rome impériale, un jeune seigneur, Polyeucte, époux de la fille du gouverneur, se fait baptiser en secret à l’instigation de Néarque, son ami chrétien. Prié d’assister peu après à un sacrifice qui célèbre le retour d’un général romain, il perturbe le rituel en proclamant sa foi et entreprend de briser les statues du culte païen. Ni les prières de son épouse, ni les supplications de son beau-père ne lui feront renier son acte.Quand Corneille, dans le courant de l’hiver 1642-1643, porte sa tragédie à la scène, la singularité de son Polyeucte martyr – qui reprend l’histoire d’un saint authentique et s’inspire discrètement d’une pièce italienne – est d’associer la figure du chrétien et celle du héros de tragédie. «Si mourir pour son prince est un illustre sort, / Quand on meurt pour son Dieu, quelle sera la mort ?» Le martyre est ainsi une forme d’héroïsme. Mais la violence iconoclaste de Polyeucte est-elle d’un chrétien ou bien plutôt d’un fanatique comme le pensait Voltaire ? C’est peut-être de ce fanatisme que la pièce, aujourd’hui, tire son actualité.Edition de Claude Bourqui et Simone de Reyff.

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    LE CINNA

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    Corneille, on le sait maintenant, était un profond analyste de la vie et du pouvoir politiques. Il raconte ici l’échec d’une conjuration – seule forme d’opposition sous la dictature – et le pardon qui la suit. Sous l’intrigue apparente, et historique, il a voulu montrer le drame du pouvoir vieillissant, de l’opposition impuissante, des individus dépassés par des forces qui les écrasent. Cette tragédie n’a donc rien perdu de sa puissance, ni de son actualité.

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    L’ILLUSION COMIQUE

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    Un père désespéré cherche son fils qui l’a quitté, et un magicien lui permet de le voir, amoureux d’une jeune fille que convoitent d’-autres soupirants contre lesquels le jeune homme doit lutter – avant, finalement, d’être tué, au grand désespoir de son père. Les personnages réapparaissent : comédiens, ils ne faisaient que jouer une pièce sous les yeux du père et du magicien. Corneille disait de L’Illusion comique : «C’est une galanterie extravagante qui a tant d’irrégularités qu’elle ne vaut pas la peine de la considérer.» Parce que, en effet, la pièce est absolument étrangère à la dramaturgie classique, un oubli de deux siècles a suivi le long succès de sa création, en 1635. Les Romantiques l’ont redécouverte – Gautier fut ébloui – et elle est aujourd’hui pour nous le chef-d’oeuvre du théâtre baroque.Edition de Georges Forestier.

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    HORACE

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    Fallait-il tuer Camille? La question fut posée dès l’année 1640 qui vit une “querelle d’Horace”, dernier acte de la “querelle du Cid”. Horace est-il un de ces “fanatiques” dont l’Histoire moderne nous a révélé différents visages ou le héraut d’une morale pour temps de guerre ? Il semble que l’on en débatte encore aujourd’hui. Mais ne peut-on espérer enfin échapper au conflit des interprétations ?

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