Emile Zola

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  • Emile Zola

    GERMINAL

    POCHE -13% ! 3,50

    Une des grandes grèves du XIX&ssup ; siècle racontée par un journaliste de génie qui en a fait un réquisitoire, un formidable “J’accuse” contre le capital, le roman de la lutte des classes et de la misère ouvrière. Un livre de nuit, de violence et de sang, mais qui débouche sur l’espoir d’un monde nouveau lorsque le héros, Étienne Lantier, quittant la mine “en soldat raisonneur de la révolution”, sent naître autour de lui une “armée noire, vengeresse… dont la germination allait bientôt faire éclater la terre”.Germinal marque l’éveil du monde du travail à la conscience de ses droits et c’est au cri sans cesse repris de “Germinal ! Germinal !” que la délégation des mineurs de Denain accompagna le convoi funèbre de Zola à travers les rues de Paris.

  • Emile Zola

    LA FAUTE DE L’ABBÉ MOURET

    POCHE -41% ! 3,50

    «Ce fut ainsi qu’Albine et Serge marchèrent dans le soleil, pour la première fois. Le couple laissait une bonne odeur derrière lui. Il donnait un frisson au sentier, tandis que le soleil déroulait un tapis d’or sous ses pas. Il avançait, pareil à un ravissement, entre les grands buissons fleuris, si désirable, que les allées écartées, au loin, l’appelaient, le saluaient d’un murmure d’admiration, comme les foules saluent les rois longtemps attendus. Ce n’était qu’un être, souverainement beau. La peau blanche d’Albine n’était que la blancheur de la peau brune de Serge. Ils passaient lentement, vêtus de soleil ; ils étaient le soleil lui-même. Les fleurs, penchées, les adoraient.»

  • Emile Zola

    GERMINAL

    POCHE 3,50
  • Emile Zola

    THÉRÈSE RAQUIN

    POCHE -17% ! 2,50

    Avec Camille, son époux, Thérèse mène une vie rythmée par les parties de dominos aux côtés de petit-bourgeois satisfaits. Assoiffée de vie, elle est astreinte à la charge de garde-malade d’un mari souffreteux. Laurent, l’amant qu’elle choisit pour meubler son quotidien, ne suffit pourtant pas à satisfaire la fougueuse Thérèse. Entravée par les corps débiles et les esprits boiteux qui l’entourent, cette grande vivante réalise que pour survivre elle devra tuer. Dès lors, elle décide avec Laurent l’assassinat de son mari. La vie de Camille était une longue agonie : sa mort la prolonge. À rebours d’une existence insignifiante, le spectre du mari envahit l’esprit des deux amants, et son cadavre s’immisce jusque dans leurs ébats. À la croisée d’un roman policier et d’une histoire de fantômes, Zola dresse le portrait glaçant d’un ménage à trois monstrueux.

  • Emile Zola

    NANA

    POCHE 4,00

    “Le sujet de Nana est celui-ci : Toute une société se ruant sur le cul. Une meute derrière une chienne, qui n’est pas en chaleur et qui se moque des chiens qui la suivent. Le poème des désirs du mâle, le grand levier qui remue le monde.”(Émile Zola).”J’ai passé hier toute la journée jusqu’à 11 heures et demie du soir à lire Nana, je n’en ai pas dormi cette nuit… Les caractères sont merveilleux de vérité… La mort de Nana est michelangelesque ! Un livre énorme, mon bon !”(Gustave Flaubert).Dans ce roman, et dans ce personnage de courtisane, Zola a peint à la fois la corruption d’une femme, de la société où elle recrute ses amants, et d’un régime politique, le Second Empire, qui se rue avec insouciance vers la guerre et la débâcle. Sexualité, histoire et mythe vivent et meurent ensemble, dans un même souffle brutal.

  • Emile Zola

    LE VENTRE DE PARIS

    POCHE -32% ! 4,00

    “La faim s’était réveillée, intolérable, atroce. Ses membres dormaient ; il ne sentait en lui que son estomac, tordu, tenaillé comme par un fer rouge. L’odeur fraîche des légumes dans lesquels il était enfoncé, cette senteur pénétrante des carottes, le troublait jusqu’à l’évanouissement. Il appuyait de toutes ses forces sa poitrine contre ce lit profond de nourriture, pour se serrer l’estomac, pour l’empêcher de crier. Et, derrière, les neuf autres tombereaux, avec leurs montagnes de choux, leurs montagnes de pois, leurs entassements d’artichauts, de salades, de céleris, de poireaux, semblaient rouler lentement sur lui et vouloir l’ensevelir, dans l’agonie de sa faim, sous un éboulement de mangeaille.”

  • Emile Zola

    POT-BOUILLE

    POCHE 3,00

    Zola est entré partout, chez les ouvriers et chez les bourgeois. Chez les premiers, selon lui, tout est visible. La misère, comme le plaisir, saute aux yeux. Chez les seconds, tout est caché. Ils clament : ” Nous sommes l’honneur, la morale, la famille. ” Faux, répond Zola, vous êtes le mensonge de tout cela. Votre pot-bouille est la marmite où mijotent toutes les pourritures de la famille.Octave Mouret, le futur patron qui révolutionnera le commerce en créant ” Au Bonheur des Dames “, arrive de province, et loue une chambre dans un immeuble de la rue de Choiseul. Beau et enjoué, il séduit une femme par étage, découvrant ainsi les secrets de chaque famille. Ce dixième volume des Rougon-Macquart, qui évoque la vie sous le Second Empire, montre ici la bourgeoisie côté rue et côté cour, avec ses soucis de filles à marier, de rang à tenir ou à gagner, coûte que coûte. Les caricatures de Zola sont cruelles mais elles sont vraies.

  • Emile Zola

    THÉRÈSE RAQUIN

    POCHE 3,00

    J’ai voulu étudier des tempéraments et  non des caractères. J’ai choisi des personnages souverainement dominés par leurs nerfs et leur sang, dépourvus de libre arbitre, entraînés à chaque acte de leur vie par les fatalités de leur chair : Thérèse et Laurent sont des brutes humaines, rien de plus. […] En un mot, je n’ai eu qu’un désir : étant donné un homme puissant et une femme inassouvie, chercher en eux la bête, ne voir même que la bête, les jeter dans un drame violent, et noter scrupuleusement les sensations et les actes de ces êtres. J’ai simplement fait sur deux corps vivants le travail analytique que les chirurgiens font sur des cadavres. “Zola, Préface à la 2ème édition de Thérèse Raquin.Ce qui nous éblouit aujourd’hui dans Thérèse Raquin, c’est le Zola poète et visionnaire, metteur en scène de la réalité et peintre des âmes de la nuit. […] Quelle force dans la description de ces êtres emmurés en eux-mêmes, vaincus par des puissances obscures qu’ils ne sauraient nommer, rançonnés déjà par la mort qui les guette ! Et quelle géniale invention dramatique tout au long de cette descente aux enfers, haletante, convulsive, sauvage !Robert AbirachedTexte intégralCommentaires et notes par Auguste Dezalay et Laurence Martin. Introduction de Robert Abirached. “

  • Emile Zola

    L’OEUVRE

    POCHE 3,50

    Dans aucun autre roman Zola n’a mis autant de lui-même que dans L’Oeuvre. Zola, le critique d’art, ami de Cézanne, fervent défenseur, contre l’art officiel, de Manet, de Monet et de toute l’avant-garde qu’incarne Claude Lantier dans le roman. Zola, l’écrivain naturaliste, rêvant de donner son existence entière ” à une oeuvre où l’on tâcherait de mettre les choses, les bêtes, les hommes, l’arche immense “. Zola, l’homme enfin, et les souffrances quotidiennes de la création vues à travers l’insatisfaction permanente et l’angoisse de déchoir d’un peintre génial et d’un romancier travailleur. Roman de la passion de l’art au détriment de la vie et de l’amour, L’Oeuvre met en scène à la fois l’enthousiasme d’une révolution artistique et le drame éternel de l’artiste aux prises avec la création.

  • Emile Zola

    L’ASSOMMOIR

    BROCHÉ -13% ! 3,50

    Qu’est-ce qui nous fascine dans la vie « simple et tranquille » de Gervaise Macquart ? Pourquoi le destin de cette petite blanchisseuse montée de Provence à Paris nous touche-t-il tant aujourd’hui encore ? Que nous disent les exclus du quartier de la Goutte-d’Or version Second Empire ?L’existence douloureuse de Gervaise est avant tout une passion où s’expriment une intense volonté de vivre, une générosité sans faille, un sens aigu de l’intimité comme de la fête. Et tant pis si, la fatalité aidant, divers «assommoirs» – un accident de travail, l’alcool, les «autres», la faim – ont finalement raison d’elle et des siens. Gervaise aura parcouru une glorieuse trajectoire dans sa déchéance même. Relisons L’Assommoir, cette «passion de Gervaise», cet étonnant chef-d’oeuvre, avec des yeux neufs.

  • Emile Zola

    L’ASSOMMOIR

    POCHE 3,50

    Dédicacé au “grand ami Flaubert, en haine du goût”, L’Assommoir, parce qu’il peignait sans complaisance la condition ouvrière, la folie née de la misère et de l’alcool, provoqua une nouvelle bataille d’Hernani. “M. Émile Zola est le chef de la Commune littéraire”, écrivit un journaliste. “Il pue ferme”, disait un autre et un autre encore : “Ce n’est pas du réalisme, c’est de la pornographie.”Zola répondit : “J’ai montré des plaies… Je laisse au législateur le soin de trouver les remèdes.” Et Paul Bourget écrivait à Zola : “C’est votre meilleur roman… Faites-nous encore quelques pages de cette force-là et vous serez le Balzac de la fin du siècle.”

  • Emile Zola

    THÉRÈSE RAQUIN

    POCHE 2,50

    Des amours adultères au crime, du crime à l’effroi, de l’effroi à la souffrance, puis à la haine, Thérèse Raquin déroule, selon une mécanique fatale, les étapes d’un drame dont les personnages sont poussés avec une parfaite régularité vers la déchéance et la mort. A sa sortie, le premier roman de Zola déclencha les foudres de la critique : on cria à la ” littérature putride “, œuvre d’une ” imagination malsaine ” (Le Figaro, 23 janvier 1868). Cette sublime illustration du naturalisme zolien n’en connut pas moins une postérité retentissante : mis en scène au théâtre par l’auteur lui-même dès 1873, Thérèse Raquin fit l’objet, au siècle suivant, de plusieurs adaptations cinématographiques, dont celle de Marcel Carné (1953), et demeure l’une des œuvres les plus terrifiantes et les plus marquantes de Zola.

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