Boris Vian

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  • Boris Vian

    MADEMOISELLE BONSOIR

    POCHE 4,90

    suivi de La Reine des garces

    La vie s’égrène mollement dans la rédaction du magazine Coeur Maître, jusqu’au jour où le responsable du courrier du coeur lance une idée géniale : trouver une demoiselle capable d’aller endormir les célibataires… la belle est trouvée, et très vite toute l’équipe tombe sous son charme ainsi que tous ceux qu’elle approche, dont un tueur en série insomniaque… Ballets, choeurs, chorégraphies de clochards, danse des robots… Mademoiselle Bonsoir est une comédie à la fois tendre et virevoltante, digne de Broadway ! overlord Mauser mène une vie de star jusqu’au mariage de sa fille qui, pour une raison fort cocasse et inattendue, décide de se venger de son père en devenant… la Reine des garces ! Qu’elles soient « reine de coeur » ou « dame de pique », les héroïnes de ces deux comédies musicales inédites font revivre le génie fantaisiste, satirique et visionnaire de Boris vian.

  • Boris Vian

    LE LOUP-GAROU

    POCHE 3,00

    Cette nuit-là, Denis, le paisible loup du bois de Fausses-Reposes, s’aperçoit avec stupeur qu’il s’est transformé en homme. C’est une nuit de pleine lune, et il va vivre dans Paris des aventures singulières… Tout l’art de Boris Vian consiste à retourner ou subvertir toutes les conventions – celles de la société, celles de la littérature –, que ce soit par l’humour, la farce ou le fantastique. Ainsi, il suffit qu’un mystérieux brouillard s’abatte sur une ville (L’amour est aveugle) et ses habitants, dans l’impossibilité de se voir ou de se reconnaître, vont libérer leurs instincts sexuels au point de ne plus vouloir jamais recouvrer la vue… Mais le jeu avec l’imaginaire et le réel peut aussi déboucher sur des pulsions morbides ou homicides, ainsi qu’on le voit dans Les Chiens, le Désir et la Mort, signé “Vernon Sullivan”.  De la gouaille à l’absurde, de la féerie à la noirceur, le romancier de L’Ecume des jours joue ici sur toute la gamme, en treize récits brefs dédiés à l’imprévisible.

  • Boris Vian

    L’ARRACHE-COEUR

    POCHE 3,55

    Voilà un coin de campagne où l’on a de drôles de façons… La foire aux vieux, par exemple. Curieuse institution ! On sait bien aussi que tous les enfants peuvent voler comme des oiseaux dès qu’ils étendent leurs bras- mais est-ce une raison suffisante pour les enfermer derrière des murs de plus en plus hauts, de plus en plus clos ? Le psychiatre Jacquemort se le demande – puis ne se le demande plus, car il a trop à faire avec la honte des autres, qui s’écoule dans un bien sale ruisseau.Mais nous, qui restons sur la rive, nous voyons que Boris Vian décrit simplement notre monde. En prenant chacun de nos mots habituels au pied de la lettre, il nous révèle le monstrueux pays qui nous entoure, celui de nos désirs les plus implacables, où chaque amour cache une haine, où les hommes rêvent de navires, et les femmes de murailles.Avant-propos de Raymond Queneau.Présentation de Gilbert Pestureau.

  • Boris Vian

    L’HERBE ROUGE

    POCHE 2,50

    Dans son style étonnant qui mêle la fantaisie et l’absurde avec l’émotion la plus poignante, Boris Vian nous raconte dans L’Herbe rouge les aventures d’un savant qui a inventé une machine pouvant lui faire revivre son passé et ses angoisses. Sous le travesti de l’humour noir, ce sont ses propres inquiétudes que met en scène Boris Vian, avec la frénésie d’invention burlesque qui l’a rendu célèbre.

  • Boris Vian

    J’IRAI CRACHER SUR VOS TOMBES

    POCHE 3,00

    Si vous le lisez avec l’espoir de trouver dans J’irai cracher sur vos tombes quelque chose capable de mettre vos sens en feu, vous allez drôlement être déçu.Si vous le lisez pour y retrouver la petite musique de Vian, vous l’y trouverez. Il n’y a pas beaucoup d’écrits de Vian dont il ne suffise de lire trois lignes anonymes pour dire tout de suite : “Tiens, c’est du Vian !” Ils ne sont pas nombreux, les écrivains dont on puisse en dire autant. Ce sont généralement ces écrivains-là qui ont les lecteurs les plus fidèles, les plus passionnés, parce que, en les lisant, on les entend parler. Lire Vian, lire Léautaud, lire la correspondance de Flaubert, c’est vraiment être avec eux. Ils ne truquent pas, ils ne se déguisent pas. Ils sont tout entiers dans ce qu’ils écrivent. Ça ne se pardonne pas, ça. Vian a été condamné. Flaubert a été condamné… Delfeil de Ton.

  • Boris Vian

    L’ÉCUME DES JOURS

    POCHE 5,20

    Un titre léger et lumineux qui annonce une histoire d’amour drôle ou grinçante, tendre ou grave, fascinante et inoubliable, composée par un écrivain de vingt-six ans. C’est un conte de l’époque du jazz et de la science-fiction, à la fois comique et poignant, heureux et tragique, féerique et déchirant. Dans cette ouvre d’une modernité insolente, livre culte depuis plus de cinquante ans, Duke Ellington croise le dessin animé, Sartre devient une marionnette burlesque, la mort prend la forme d’un nénuphar, le cauchemar va jusqu’au bout du désespoir.Mais seules deux choses demeurent éternelles et triomphantes : le bonheur ineffable de l’amour absolu et la musique des Noirs américains.la couverture de l’article peut varier

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