Assia Djebar

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  • Assia Djebar

    L’AMOUR, LA FANTASIA

    POCHE 3,00

    Nous glissons du passé lointain au passé proche, de la troisième personne à la première ; extraordinaire évocation du père, instituteur de français, de la mère, des cousines, des femmes cloîtrées vives et dont le cri et l’amour nous poursuivent.Assia Djebar, sans conteste la plus grande romancière du Maghreb, nous donne ici son oeuvre la plus aboutie.

  • Assia Djebar

    VASTE EST LA PRISON

    POCHE 4,00

    «Vaste est la prison qui m?écrase», dit la complainte berbère qui ouvre ce roman sur l?Algérie des femmes d?hier et d?aujourd?hui. Comme dans le présent algérien s?entremêlent ici des tragédies, des passions et des mutations, celles de femmes presque toujours en mouvement : la narratrice dans le désert et le silence d?une passion amoureuse, l?aïeule qui à quatorze ans épouse un riche septuagénaire, la mère quittant le voile pour rendre visite en France à son fils prisonnier politique, et tant d?autres figures féminines peintes comme des «fugitives et ne le sachant pas», improvisant leurs chants de deuil, de joie, de lutte ou d?espoir. Roman-quête des origines, polyphonie d?une fascinante chronique féminine sur tout un siècle, Vaste est la prison est le troisième volet du «Quatuor algérien» qui, avec L?Amour, la fantasia et Ombre sultane, explore par la double approche autobiographique et historique l?Algérie profonde dans sa vie tumultueuse et meurtrie.

  • Assia Djebar

    LA FEMME SANS SÉPULTURE

    POCHE 3,00

    La Femme sans sépulture, c’est Zoulikha, héroïne oubliée de la guerre d’Algérie, montée au maquis au printemps 1957 et portée disparue deux ans plus tard, après son arrestation par l’armée française. Femme exceptionnelle, si vivante dans sa réalité de mère, d’amante, d’amie, d’opposante politique, dans son engagement absolu et douloureux, dans sa démarche de liberté qui scelle sa vie depuis l’enfance et qui ne l’a jamais quittée, sa présence irradiante flotte à jamais au-dessus de Césarée…Autour de Zoulikha s’animent d’autres figures de l’ombre, paysannes autant que citadines, vivant au quotidien l’engagement, la peur, la tragédie parfois. Véritable chant d’amour contre l’oubli et la haine, de ce passé ressuscité naît une émotion intense, pour ce destin de femme qui garde son énigme, et pour la beauté d’une langue qui excelle à rendre son ombre et sa lumière.

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