De collection

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  • Charles Dickens

    PICKWICK – OLIVER TWIST

    CUIR/LUXE 35,00
  • Charles Dickens

    NICOLAS NICKLEBY – LIVRES DE NOËL

    RELIÉ 35,00

    Nicolas Nickleby appartient, comme on le devinera aisément, à la jeunesse de son auteur. C’est au printemps de 1838, Olivier Twist n’en étant encore qu’à mi-chemin, que Dickens fait paraître la première livraison mensuelle de Nickleby sans avoir le moindre bout de manuscrit d’avance, ni se faire une idée bien claire – si ce n’est pour le point de départ – du second des deux considérables romans qu’il va mener de front.
    Les contes qui terminent ce volume s’échelonnent de 1843 à 1848 et nous retrouvons en eux ceux que nous lisions dans notre enfance, habillés de rouge par Hachette, sous le titre de Contes de Noël.

  • René Descartes

    OEUVRES ET LETTRES

    IMITATION CUIR 29,90

    Descartes (1596-1650), auteur d’une méthode à modèle mathématique, apprend que les athées admettent cette seule certitude (M. de Nassau mourant, repris dans Dom Juan : je crois que 2 + 2 = 4). Or sans Dieu, même l’évidence peut être trompeuse. Pensant le doute, je suis, mais imparfait : mon idée d’absolue perfection vient de l’Être infini et parfait. Créées par Dieu, les vérités mathématiques structurent et le monde et la raison. On peut ainsi déduire tous les états de la matière, y compris les vivants. Corps et esprit en “un seul tout”, l’homme subit et domine les passions, avec la générosité, bon usage de la liberté.

  • Daniel Defoe

    ROBINSON CRUSOÉ – ROMANS, TOME 1

    RELIÉ 35,00

    Daniel Defoe (1660-1731) n’est guère connu en France que par Robinson Crusoé, alors qu’il est l’auteur de plus de cinq cents œuvres, dont une dizaine constituent l’acte de naissance du roman anglais, sinon du roman tout court. Roxana, Moll Flanders, le Journal de l’année de la peste sont sans doute les premiers exemples d’un effort conscient pour transformer une relation minutieuse de la réalité en une œuvre d’art. La dimension artistique de celle-ci réside précisément dans la nature particulière du regard porté par l’auteur, qui prétend s’effacer derrière les données brutes qui auraient été portées à sa connaissance. Si Robinson Crusoé fit un triomphe chez les enfants, c’est que Defoe fit de son héros un des grands personnages mythiques du monde moderne.

  • Daniel Defoe

    MOLL FLANDERS – ROMANS, TOME 2

    RELIÉ 35,00

    Daniel Defoe (1660-1731) n’est guère connu en France que par Robinson Crusoé, alors qu’il est l’auteur de plus de cinq cents œuvres, dont une dizaine constituent l’acte de naissance du roman anglais, sinon du roman tout court. Roxana, Moll Flanders, le Journal de l’année de la peste sont sans doute les premiers exemples d’un effort conscient pour transformer une relation minutieuse de la réalité en une œuvre d’art. La dimension artistique de celle-ci réside précisément dans la nature particulière du regard porté par l’auteur, qui prétend s’effacer derrière les données brutes qui auraient été portées à sa connaissance. Si Robinson Crusoé fit un triomphe chez les enfants, c’est que Defoe fit de son héros un des grands personnages mythiques du monde moderne.

  • Dante Alighieri

    OEUVRES COMPLÈTES

    RELIÉ 35,00

    Œuvres italiennes : Vie nouvelle – Rimes – Banquet. Œuvres latines : De l’éloquence en langue vulgaire – Monarchie – Épîtres – Églogues – Querelle de l’eau et de la terre. Divine Comédie : L’Enfer – Purgatoire – Paradis.

  • Pierre Jourda

    CONTEURS FRANÇAIS DU XVIE SIÈCLE

    RELIÉ 39,00

    On ne lit plus guère les conteurs du XVIe siècle, et l’on a tort car ils méritent de n’être pas oubliés. Voici, groupés en un seul volume, quelques-uns des textes essentiels – dont L’Heptaméron – et aussi un choix de pages de deux auteurs presque inconnus : Jacques Yver et Bénigne Poissenot qui, chacun de son côté, représentent certaines tendances du siècle : le pédantisme, par excès d’humanisme, le romanesque et, pourtant, un souci déjà très précis de la réalité. À côté de Rabelais, à côté de Montaigne, un groupe d’écrivains qui sont, dans tous les sens du mot, des témoins.

  • Miguel de Cervantes

    DON QUICHOTTE – NOUVELLES EXEMPLAIRES

    RELIÉ 15,00
  • Bossuet

    OEUVRES

    RELIÉ 33,00

    Jacques Bénigne Bossuet (1627-1704) aurait pu incarner l’homme de cour de Baltasar Gracián : incertain dans ses amitiés, habile à n’être d’aucun parti, rassasié des choses de ce monde au point d’en mesurer la vanité. Mais il est un temps pour tout, “un temps de poursuivre un rêve ou de se l’interdire”. À la passion des hommes, Bossuet préféra celle de Dieu. Il mit à ce service une rhétorique fougueuse et dramatique. Ouvrant un tombeau devant la cour, il fit basculer la fête baroque de la mort dans l’ordre du sacré. Ses leçons de ténèbres disent à l’homme que sa fragilité est cernée d’infini, que ses œoeuvres doivent tout au caprice divin et que son salut passe par son anéantissement.

  • Anonymes

    LA BIBLE : ANCIEN TESTAMENT, TOME I : LA LOI OU LE PENTATEUQUE – LIVRES HISTORIQUES

    RELIÉ 25,00

    La Bibliothèque de la Pléiade avait inscrit depuis longtemps à son programme une traduction intégrale de La Bible. Cette traduction devait être, par ses qualités littéraires, digne des grands classiques français et étrangers qui ont établi le renom de la collection. Elle devait en même temps répondre aux exigences de précision qu’ont suscitées le développement de l’esprit scientifique, les progrès de la philologie et les découvertes archéologiques les plus récentes.
    Nul ne pouvait donc être plus qualifié pour diriger et réaliser cette publication que M. Édouard Dhorme, membre de l’Institut, professeur honoraire au Collège de France : à une connaissance parfaite de l’hébreu et des langues sémitiques antérieures ou postérieures à celle-ci, M. Dhorme joint, à un haut degré, le sens de la langue française.
    Pour la première fois en France, semble-t-il, un tel approfondissement de l’hébreu non seulement n’a pas empâté la vigueur, ni terni les nuances de notre langue, mais au contraire en a affiné les richesses. C’est en serrant l’original de plus près que le traducteur, a, du fond du génie français, fait surgir des pouvoirs endormis et comme une nouvelle écriture. Celle-ci épouse le style de chacun des auteurs
    originaux et rend sensible leur tempérament propre : ici un ton oral sans âge, ailleurs de savants effets littéraires, parfois la raideur des inscriptions archaïques ou le frémissement de vie et la jeunesse retrouvée de poèmes immortels.
    L’introduction et les notes, n’ayant point de thèses à défendre, soucieuses uniquement d’éclairer le texte, situent tout ce qui peut l’être dans l’état actuel de nos connaissances : coutumes, jeux de mots, histoire et géographie, philosophie et morale, etc. Elles portent la marque d’une grande sagesse et d’une prudence courageuse. M. Dhorme, qui connaît aussi bien les hardiesses hypercritiques que la théologie savante, sait défendre les droits du texte littéral contre toute interprétation tendancieuse et se réserver devant les hypothèses téméraires.
    Voilà qui ne saurait laisser indifférents ni les croyants ni les historiens : cette publication doit ainsi emporter l’assentiment unanime.
    Il se trouve de surcroît que c’est un grand événement littéraire.

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